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Ηλεκτρ. έκδοση

GREEK.

Passages given to be translated into English.

Ἐν ταύτῃ τῇ ναυμαχίῃ Αἰγύπτιοι μὲν τῶν Ξέρξεω στρατιωτέων ἠρίστευ σαν, οἱ ἄλλα τε ἔργα μεγάλα ἀπεδέξαντο καὶ νέας αὐτοῖσι ἀνδράσι εἷλον Ελληνίδας πέντε. Τῶν δὲ Ἑλλήνων κατὰ ταύτην τὴν ἡμέρην ἠρίστευσαν ̓Αθηναῖοι, καὶ ̓Αθηναίων Κλεινίης ὁ ̓Αλκιβιάδεω, ὃς δαπάνην οἰκηΐην παρεχόμενος ἐστρατεύετο ἀνδράσι τε διηκοσίοισι καὶ οἰκηΐῃ νηΐ. Ὡς δὲ διέστησαν, ἄσμενοι ἑκάτεροι, ἐς ὅρμον ἠπείγοντο. Οἱ δὲ Ἕλληνες ὡς διακριθέντες ἐκ τῆς ναυμαχίης ἀπηλλάχθησαν, τῶν μὲν νεκρῶν καὶ τῶν ναυηγίων ἐπεκράτεον, τρηχέως δὲ περιεφθέντες, καὶ οὐκ ἥκιστα ̓Αθηναῖοι, τῶν αἱ ἡμίσεαι τῶν νεῶν τετρωμέναι ἦσαν, δρησμὸν δὴ ἐβουλεύοντο ἔσω ἐς τὴν Ἑλλάδα. Νόῳ δὲ λαβὼν ὁ Θεμιστοκλέης, ὡς εἰ ἀποῤῥαγείη ἀπὸ τοῦ βαρβαρικοῦ τό τε Ἰωνικὸν φῦλον καὶ τὸ Καρικὸν οἷοί τε εἴησαν τῶν λοιπῶν κατύπερθε γενέσθαι, ἐλαυνόντων τῶν Εὐβοέων πρόβατα ἐπὶ τὴν θάλασσαν, ταύτῃ συλλέξας τοὺς στρατηγοὺς, ἔλεγέ σφι ὡς δοκέοι ἔχειν τινὰ παλάμην, τῇ ἐλπίζοι τῶν βασιλέος συμμάχων ἀποστήσειν τοὺς ἀρίστους.—Herodotus.

Ὁ δὲ Νικίας ἐνόμιζε μὲν καὶ αὐτὸς πονηρὰ σφῶν τὰ πράγματα εἶναι, τῷ δὲ λόγῳ οὐκ ἐβούλετο αὐτὰ ἀσθενῆ ἀποδεικνύναι, οὐδ ̓ ἐμφανῶς σφᾶς ψηφιζομένους μετὰ πολλῶν τὴν ἀναχώρησιν τοῖς πολεμίοις καταγγέλτους γίγνεσθαι· λαθεῖν γὰρ ἂν, ὁπότε βούλοιντο, τοῦτο ποιοῦντες πολλῷ ἧσσον. Τὸ δέ τι καὶ τὰ τῶν πολεμίων, ἀφ ̓ ὧν ἐπὶ πλέον ἢ οἱ ἄλλοι ᾐσθάνετο αὐτῶν, ἐλπίδος τι ἔτι παρεῖχε πονηρότερα τῶν σφετέρων ἔσεσθαι, ἣν καρτερῶσι προσκαθήμενοι χρημάτων γὰρ ἀπορίᾳ αὐτοὺς ἐκτρυχώσειν, ἄλλως τε καὶ ἐπὶ πλέον ἤδη ταῖς ὑπαρχούσαις ναυσὶ θαλασσοκρατούντων. Καὶ ἦν γάρ τι καὶ ἐν ταῖς Συρακούσαις βουλόμενον τοῖς ̓Αθηναίοις τὰ πράγματα ἐνδοῦναι, ἐπεκηρυκεύετο ὡς αὐτὸν καὶ οὐκ εἴα ἀπανίστασθαι. “Α ἐπιστάμενος, τῷ μὲν ἔργῳ ἔτι ἐπ' ἀμφότερα ἔχων καὶ διασκοπῶν ἀνεῖχε, τῷ δ ̓ ἐμφανεῖ τότε λόγῳ οὐκ ἔφη ἀπάξειν τὴν στρατιάν. εὖ γὰρ εἰδέναι ὅτι 'Αθηναῖοι σφῶν ταῦτα οὐκ ἀποδέξονται, ὥστε μὴ αὐτῶν ψηφισαμένων ἀπελθεῖν. καὶ γὰρ οὐ τοὺς αὐτοὺς ψηφιεῖσθαί τε περὶ σφῶν αὐτῶν, καὶ τὰ πράγματα, ὥσπερ καὶ αὐτοὶ, ὁρῶντας καὶ οὐκ ἄλλων ἐπιτιμήσει ἀκούσαντας γνώσεσθαι, ἀλλ ̓ ἐξ ὧν ἄν τις εὖ λέγων διαβάλλοι, ἐκ τούτων αὐτοὺς πείσεσθαι. Τῶν τε παρόντων στρατιωτῶν πολλοὺς καὶ τοὺς πλείους ἔφη, οἳ νῦν βοῶσιν ὡς ἐν δεινοῖς ὄντες, ἐκεῖσε ἀφικομένους τἀναντία βοήσεσθαι, ὡς ὑπὸ χρημάτων καταπροδόντες οἱ στρατηγοὶ ἀπῆλθον.—Thucydides

ΦΙΛ.-Φέρ ̓ εἰπὲ πρὸς θεῶν, ποῦ γὰρ ἦν ἐνταῦθά σοι
Πάτροκλος, ὃς σοῦ πατρὸς ἦν τὰ φίλτατα ;

ΝΕΟ.—Χ ̓ οὗτος τεθνηκὼς ἦν· λόγῳ δέ σε βραχεῖ
Τοῦτ ̓ ἐκδιδάξω πόλεμος οὐδέν ̓ ἄνδρ' ἑκὼν
Αἴρει πονηρὸν, ἀλλὰ τοὺς χρηστοὺς ἀεί.

ΦΙΛ.—Ξυμμαρτυρῶ σοι· καὶ κατ ̓ αὐτὸ τοῦτό γε

̓Αναξίου μὲν φωτὸς ἐξερήσομαι,

Γλώσσῃ δὲ δεινοῦ καὶ σοφοῦ, τί νῦν κυρεῖ.
ΝΕΟ...Ποίου δὲ τούτου, πλήν γ ̓ Ὀδυσσέως, ἐρεῖς ;
ΦΙΛ. Οὐ τοῦτον εἶπον· ἀλλὰ Θερσίτης τις ἦν,
Ὃς οὐκ ἂν εἶλετ ̓ εἰςάπαξ εἰπεῖν, ὅπου

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Μηδεὶς ἐφη· τοῦτον οἶσθ ̓, εἰ ζῶν κυρεῖ ;
ΝΕΟ. Οὐκ εἶδον αὐτόν, ᾐσθόμην δ' ἔτ ̓ ὄντα νιν.
ΦΙΛ.—Ἔμελλ ̓· ἐπεὶ οὐδέπω κακόν γ' ἀπώλετο·
̓Αλλ' εὖ περιστέλλουσιν αὐτὰ δαίμονες-
Καί πως τὰ μὲν πανοῦργα καὶ παλιντριβῆ
Χαίρουσ ̓ ἀναστρέφοντες ἐξ "Αιδου, τὰ δὲ
Δίκαια καὶ τὰ χρήστ ̓ ἀποστέλλουσ ̓ ἀεί.
Ποῦ χρὴ τίθεσθαι ταῦτα, ποῦ δ ̓ αἰνεῖν, ὅταν
Τὰ θεῖ ̓ ἐπαινῶν τοὺς θεοὺς εὕρω κακούς ; — Sophocles.

Herodotus :

Lib. iii. cap. 42, 43. Πέμπτῃ δὲ....ἀνδρός.

Lib. iii. cap. 57. Οἱ δ ̓ ἐπὶ... ήσκημένα.

Thucydides :-
Lib. ii. cap. 3.

Lib. ii. cap. 71.

Homer:

Οἱ δὲ Πλαταιής....κατὰ τάχος.

Τοῦ δ ̓ ἐπιγιγνομένου. . . . ἐδικαίωσεν.

Odyss.—Lib. viii. 83-103. Ταῦτ ̓ ἄρ ̓ ἀοιδὸς....πόδεσσιν.

Passage given to be translated into Greek.

Even in war the German princes governed more by example than by authority; but in peace the civil union was in a great measure dissolved, and the inferior leaders administered justice after an independent manner, each in his own particular district. The warriors of each tribe attached themselves to their leader with the most devoted affection and most unshaken constancy. They attended him as his ornament in peace, as his defence in war, as his council in the administration of justice, Their constant emulation in military renown dissolved not that inviolable friendship which they professed to their chieftain and to each other. To die for the honour of their band was their chief ambition, to survive its disgrace or the death of their leader was infamous. They even carried into the field their women and children, who adopted all the martial sentiments of the men. Being thus impelled by every human motive they were invincible, where they were not opposed either by the similar manners and institutions of the neighbouring Germans or by the superior discipline, arms, and numbers of the Romans.-Hume.

FRENCH.

Passages given to be translated into English.

On s'embarque sur la Brenta pour arriver à Venise, et des deux côtés du canal on voit les palais des Vénitiens, grands et un peu délabrés, comme la magnificence italienne. Ils sont ornés d'une manière bizarre, et qui ne rappelle en rien le goût antique. L'architecture vénitienne se ressent du commerce avec l'Orient; c'est un mélange du goût moresque et gothique, qui attire la curiosité sans plaire à l'imagination. Le peuplier, cet arbre régulier comme l'architecture, borde le canal presque partout. Le ciel est d'un bleu vif, qui contraste avec le vert éclatant de la campagne; ce vert est entretenu par l'abondance excessive des eaux; le ciel et la terre sont ainsi de deux couleurs si fortement tranchées, que cette nature elle-même a l'air d'être arrangée avec une sorte d'apprêt; et l'on n'y trouve point le vague mystérieux qui fait aimer le midi de l'Italie. L'aspect de Venise est plus étonnant qu'agréable; on croit d'abord voir une ville submergée; et la réflexion est nécessaire pour admirer le génie des mortels qui ont conquis cette demeure sur les eaux. Naples est bâtie en amphithéâtre au bord de la mer; mais Venise étant sur un terrain tout-à-fait plat, les clochers ressemblent aux mâts d'un vaisseau qui resterait immobile au milieu des ondes. Un sentiment de tristesse s'empare de l'imagination en entrant dans Venise. On prend congé de la végétation; on ne voit même pas une mouche en ce séjour; tous les animaux en sont bannis; et l'homme seul est là pour lutter contre la mer.-Mme. de Stael-Corinne.

La lettre destinée au roi d'Angleterre était ainsi conçue :

66

Appelé, Sire, par le vœu de la nation Française à occuper la première magistrature de la République, je crois convenable, en entrant en charge, d'en faire directement part à Votre Majesté.

"La guerre qui, depuis huit ans, ravage les quatre parties du monde, doit-elle être éternelle? N'est-il donc aucun moyen de s'entendre?

"Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité interieure, le bonheur des familles ? comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins, comme la première des gloires?

"Ces sentiments ne peuvent pas être étrangers à Votre Majesté, qui gouverne une nation libre, et dans le seul but de la rendre heureuse.

"Votre Majesté ne verra dans cette ouverture que mon désir sincère de contribuer efficacement, pour la seconde fois, à la pacification générale, par une démarche prompte, toute de confiance, et dégagée de ces formes qui, nécessaires peut-être pour déguiser la dépendance des états foibles, ne décèlent dans les états forts que le désir mutuel de se tromper.

"La France, l'Angleterre, par l'abus de leurs forces, peuvent longtemps encore, pour le malheur de tous les peuples, en retarder l'épuisement: mais, j'ose le dire, le sort de toutes les nations civilisées est attaché à la fin d'une guerre qui embrase le monde entier."-Thiers. Montesquieu:-Lettres Persanes.

Lett. 1.-"J'ai vu des gens.... et nous la prîmes." Bossuet:-Oraison funèbre du Prince de Condé.· ́

"A la nuit qu'il fallut....du corps qu'elle aime."

Pascal:-Apologie de la Religion.

Cap. iii. "La première chose qui s'offre....dans cette pensée."

Voltaire :-Charles XII.

Liv. ii." Accoutumé dans ses pays....jusqu'à la Suede."
iii. "Le jeune Stanislas....qui sera Roi."

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iii. "Cette île inculte...adoucir ce climat sauvage." iv. "On faisait des sorties....la retraite et les vivres." vi."Un garde nommé Walberg...craint d'incommoder." viii. "Charles forma le siége....ne fût redoutable." Voltaire :-Le Monde comme il va.

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"De là il alla passer....la circulation et l'abondance." Rousseau :-La Nouvelle Héloise-Lettre sur la suicide. "Tu comptes les maux de l'humanité....dépend de son emploi." Le Sage-Gil Blas.

Liv. ii. cap. 7. "J'arrivai sur le soir....sans indigestion." vii. cap. 4. "Ces paroles firent pâlir... mieux mes confidents." Mme. de Sévigné :-Lettres.

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Lett. cccciii.

"M. de Turenne monta....se pâmait de crier."

La Bruyère.-Caractères.-De l'homme.

"Les hommes parlent de manière....qu'il ne lit jamais." Chateaubriand :-Les Martyrs.

"Soudain de l'extrémité....l'immensité du désert."

Buffon:-Histoire naturelle.

"Qu'elle est belle cette nature....l'empire avec la nature." Mirabeau :-Discours sur la Banqueroute.

"Et moi aussi je ne crois....désastreux des impôts."

Rollin :-Traité des Etudes.

"L'histoire nous fait entrer.... aussi bien que la renommée." Thiers-Le Consulat et l'Empire.

Liv. ii. (i. 375.) "Les arts ont dépeint....sa modeste ambition." Mignet:-Histoire de la Révolution Française.

Cap. ii. "La masse de l'assemblée....c'était l'erreur."
V. "Messieurs, pour que vos....le proposait même.
V. "Dumouriez s'était rendu.....que Léonidas."

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99

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ix. "Il avait beaucoup d'audace....dans la terreur."
ix. "Les sections sur l'invitation....à peu près minuit."
ix. "En lui finit le règne....conquérants par la guerre."
xiv. "Le consulat....prendre."

xv. "Napoléon ne pouvait pas....le 15 Avril 1813." Lavallée :-Histoire de France.

Liv. iii. § iii. cap. 3. "Montesquieu affectait..et les lui a rendus." Duruy :-Histoire des Romains.

Cap. xviii. § ii. "Il y a deux sortes d'ambition.. passa au peuple." Thierry (Amedée) :-Histoire des Gaulois.

Vol. ii. cap. 3. "Les Ambrons....les campements Teutons." Thierry (Augustin) :—Histoire de la Conquête des Normands.

"Knut se montra d'abord....l'empereur des Allemands." Victor Hugo:-Notre Dame de Paris.

Liv. cap. 2. "Les caractères généraux... de Salomon à Phidias." Ste. Beuve :-Causeries du Lundi.

Tom. ix. Daru (fin.). “Ainsi écrivait il....la grande armée." ix. Bourdaloue. "Aujourd'hui le genre....de surprenant."

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Geo. Sand:-Lettres d'un Voyageur.

Lett. vii. "Mais de quoi m'occupé-je.... peut-être demain."

GERMAN.

Passages given to be translated into English.

Sie gehen nicht mehr in's Theater, sagen Sie?

Seit funfzehn Jahren war ich nicht dort.

Diese Vergnügungsart hat also wohl nicht mehr den früheren Reiz für Sie?

Die Aufführung mancher Schauspiele ist eine der Vergnügungen, die ich mit der meisten Leidenschaft geliebt habe und noch liebe. Also ist es Mangel an Musse, der Sie verhindert hat, ein Vergnügen zu geniessen, auf das Sie so grossen Werth legen.

Noch weit weniger; in diesen funfzehn Jahren bin ich oft unterwegs gewesen, um in's Theater zu gehen.

Und wer hat Sie unterwegs abgehalten?

Oft bin ich von Hause weggegangen in der Absicht, die Français zu besuchen, oder vielleicht auch irgend ein andres Theater. Unterwegs beeilte ich den Schritt, empfand eine lebhafte Erregung, durch den Vorgenuss des Vergnügens, das mich erwartete. Bald jedoch befragt ich mich über die Beschaffenheit der Eindrücke, von denen ich mich so mächtig beherrscht fühlte. Ich kann es Ihnen sagen, ich fand in mir nur die Erwartung des berauschenden Entzückens, welches mich ehemals ergriffen hatte, wenn die erhabensten Tugendgesinnungen, in der Sprache Corneille's und Racine's ausgedrückt, den allgemeinen Beifall hervorriefen. Dann stellte sich unmittelbar eine Betrachtung ein. Ich will Geld ausgeben, sagt' ich mir, für das Vergnügen, ein blosses Bild der Tugend zu bewundern, oder vielmehr einen Schatten der Tugend. Mit derselben Summe.

Fahren Sie fort, ich bitte, lieber Saint-Martin !

Nun wohl, mit derselben Summe kann ich die Wirklichkeit dieses Bildes erlangen, ich kann eine gute Handlung ausüben, anstatt sie in einer flüchtigen Vorstellung abgebildet zu sehen. . .

Sprechen Sie's aus, ich errathe schon.

Ich habe diesem Gedanken nie widerstehen können. Ich ging zu irgend einem Unglücklichen, den ich kannte, liess ihm den Betrag meines Parterre-Billets, genoss alles, was ich mir vom Schauspiel versprochen hatte, ja weit mehr noch, und ging ohne Reue nach Hause zurück. Varnhagen von Ense.

Der sächsische Minister wusste auf diese Vorwürfe nichts zu antworten, als dass es am besten gethan sey, geschehene Dinge in Vergessenheit zu begraben. Er drang in den König, sich über die Bedingungen zu erklären, unter welchen er Sachsen zu Hülfe kommen wollte, und verbürgte sich im Voraus für die Gewahrung derselben. "Ich verlange, erwiederte Gustav, dass mir der Churfürst die Festung Wittenberg einräume, mir seinen ältesten Prinzen als Geissel übergebe, meinen Truppen einen dreimonatlichen Sold auszahle, und mir die Verräther in seinem Ministerium ausliefere. Unter diesen Bedingungen bin ich bereit, ihm Beystand zu leisten." "Nicht nur Wittenberg," rief der Churfürst, als ihm diese Antwort hinterbracht wurde, und trieb seinen Minister in das schwedische Lager zurück: "Nicht blos Wittenberg, auch Torgau, ganz Sachsen soll ihm offen stehen; meine ganze Familie will ich ihm als Geissel übergeben; und, wenn ihm das noch nicht genug ist, so will ich mich selbst ihm darbieten. Eilen Sie zurück und sagen ihm, dass ich bereit sey, ihm die Verräther, die er

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