Oeuvres complètes de Voltaire: La Henriade. La pucelleHachette, 1859 |
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Συχνά εμφανιζόμενοι όροι και φράσεις
affreux Agnès amant âme amour Anglais bataille bataille d'Ivry beau beauté belle Bonneau Bourbon bras Catherine de Médicis cent Chandos chant Charles Charles IX charmes cher ciel cieux cœur Coligny combats coups courage crime cruelle d'Aumale Denys diable Dieu dieux Discorde dit-il divin Dorothée doux duc de Guise duc de Mayenne Dunois Édition de 1756 ennemis esprit eût fiers fils François Ier frère fureur gloire guerre Henri Henri III Henri IV Henriade héros heureux Homère homme Jacques Clément jamais Jean Chandos Jeanne jeune jour l'amour l'Énéide l'univers lecteur Ligue ligueurs Louis main maître malheureux maréchal Mayenne Monrose mort mortels Navarre nuit parle père peuple plaisirs pleurs poëme épique poëte porte prince Pucelle qu'un raison reine religion remparts rois Rome sage saint Saint-Barthélemy sang sanglant secours secret sentiments seul soldats soudain tendre terre tête tremblant trépas Trimouille trône tyrans vainqueur Valois venger vertu Virgile voit voix Voltaire yeux
Δημοφιλή αποσπάσματα
Σελίδα 48 - II voit briller partout les flambeaux et les armes ; Son palais embrasé, tout un peuple en alarmes ; Ses serviteurs sanglants, dans la flamme étouffés ; Les meurtriers en foule au carnage échauffés, Criant à haute voix : " Qu'on n'épargne personne ; C'est Dieu, c'est Médicis, c'est le roi qui l'ordonne...
Σελίδα 134 - Tel qu'échappé du sein d'un riant pâturage , Au bruit de la trompette animant son courage , Dans les champs de la Thrace un coursier orgueilleux, Indocile , inquiet , plein d'un feu belliqueux...
Σελίδα 41 - Possédant, en un mot, pour n'en pas dire plus, Les défauts de son sexe, et peu de ses vertus.
Σελίδα 48 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage, « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs, Que le sort des combats respecta quarante ans ; Frappez, ne craignez rien, Coligni vous pardonne; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne... J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous...
Σελίδα 112 - S'attirent dans leur course, et s'évitent sans cesse, Et, servant l'un à l'autre et de règle et d'appui, Se prêtent les clartés qu'ils reçoivent de lui. Au-delà de leur cours, et loin dans cet espace, Où la matière nage, et que Dieu seul embrasse, Sont des soleils sans nombre et des mondes sans fin.
Σελίδα 585 - Ah ! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre acharnés , Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés.
Σελίδα 247 - Oserai-je le dire ? c'est que, de toutes les nations polies, la nôtre est la moins poétique. Les ouvrages en vers qui sont le plus à la mode en France sont les pièces de théâtre : ces pièces doivent être écrites dans un style naturel, qui approche assez de celui de la conversation.
Σελίδα 559 - Ses défenseurs mourants, ses flots épouvantés, Son dieu même en fureur, effrayé du passage, Cédant à nos aïeux son onde et son rivage : Et vous, quand votre roi dans des plaines de sang Voit la mort devant lui voler de rang en rang, Tandis que, de Tournay foudroyant les murailles, II...
Σελίδα 33 - Divisés d'intérêt, réunis par la loi ; Tous trois, membres sacrés de ce corps invincible, Dangereux à lui-même, à ses voisins terrible. Heureux, lorsque le peuple, instruit dans son devoir, Respecte, autant qu'il doit, le souverain pouvoir ! Plus heureux, lorsqu'un roi, doux, juste et politique, Respecte, autant qu'il doit, la liberté publique ! Ah...
Σελίδα 269 - Sous un monarque entre deux draps plaça. Sa vive allure est un vrai port de reine, Ses yeux fripons s'arment de majesté, Sa voix a pris le ton de souveraine, Et sur son rang son esprit s'est monté...