Du aber, großer Berg, nicht zu erreichen Trägst nicht an dir von grausem Frevel Zeichen, Zeigst du der Stirne Machtgebot Wie in der ersten Jugend Morgenrot. In deine eisigen Schrecken Kommt nie ein Zephirflüsterhauch, Mit Blumen und mit Gräsern sich zu necken; Der wilde Sturm allein Jagt über deiner Joche Höh' Im unerschöpften Wirbel ew'gen Schnee. Regaldi. Salut, brillants sommets, champs de neige et de glace Sur nous, comme la nuit, versant son ombre obscure, Là, le gouffre tonnant où le glacier se verse, Et plus bas, à l'endroit où son lit qui serpente Lamartine. Montagne à la cime voilée, Des sommets triste privilège! A tes pieds s'endort sous la feuille, La vallée où le lac recueille Tu t'enveloppes de mystère, Lamartine. Avec leurs grands sommets, leurs glaces éternelles, Par un soleil d'été que les Alpes sont belles ! Tout dans leurs frais vallons sert à nous enchanter, La verdure, les eaux, les bois, les fleurs nouvelles. Heureux qui sur ces bords peut longtemps s'arrêter! Heureux qui les revoit, s'il a pu les quitter! Alexandre Guiraud. Wie der Hauch des leichten, flücht'gen, Sanft vorüberziehenden Windes, Der herabkommt von dem Felsen, Durch die nächtlich düstern Schatten, In dem Thale dumpf und still. Flüsse wohl sah ich in üppigen Fluren, Monti. Aber der heiligste, schönste Gedanke, Regaldi. Oui, c'est bien le vallon! le vallon calme et sombre ! Ici l'été plus frais s'épanouit à l'ombre. Ici durent longtemps les fleurs qui durent peu. Ici l'âme contemple, écoute, adore, aspire, Et prend pitié du monde étroit et fol empire Où l'homme tous les jours fait moins de place à Dieu. Victor Hugo. Vallon! j'ai bien souvent laissé dans ta prairie Victor Hugo. Heureux qui peut au sein du vallon solitaire, Il ne connaît rien de la terre, Et ne voit jamais que le ciel ! Victor Hugo. O vallons paternels! doux champs! humble chaumière Au bord penchant des bois suspendue aux coteaux, Dont l'humble toit caché sous les touffes de lierre Ressemble au nid sous les rameaux. Voici l'étroit sentier de l'obscure vallée: Lamartine. Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais, Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée Me couvrent tout entier de silence et de paix. Lamartine. Ceinte de coteaux verts où le ciel bleu finit, Au fond du bois, à gauche, il est une vallée A toute heure, au mois d'août, un zéphir y tempère, A l'ombre des rameaux, les cuisantes chaleurs Mais vers le bas surtout, dans le creux, où la source Sainte-Beuve. Biene. Obgleich die Biene wie die Wespe sich mit dem Stachel wehrt und wie diese in die Wunde ein Gift fließen läßt, welches brennt und Schmerzen verursacht, so liebt der Mensch dennoch dieses Insekt, welches, von Blume zu Blume fliegend, den Nektar und Honig sammelt, um sie später in jene schönen weißen Waben zu verwandeln, die es in den Baumstämmen, in Felsen und selbst unter der Erde zu verbergen weiß. Der Honig spielt schon in der Bibel und in den ersten und ältesten Büchern der Litteratur eine Rolle, und wir sind wohlwollend und nachsichtig mit dem geflügelten Insekt, das uns den Honig liefert. Deshalb verzeihen wir ihm gerne seinen giftigen Stachel, den es übrigens nur gegen den Angreifer zur Geltung bringt. Die Bienenzüchter, welche die Bienen mit Zartheit zu behandeln verstehen, lassen sich von ihnen die Hände und das Gesicht zerstechen, ohne Schaden zu nehmen. |