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TRADITIONS CONCERNING THE "ARK.”

353 one of the Jews confessed he never could hear a reason from any of their Doctors." According to Theodoret, Arnobius, and Clemens of Alexandria, the Yoni (then become Ioni; thence Ionia and Ionic) of the Hindus was the sole object of veneration in the Mysteries of Eleusis ("Demosthenes on the Crown").

Next we have the 'Golden Calves' set-up by Jeroboam at Dan and Bethel. Then follows (Judges viii. 22, &c.) the worship of Gideon's Ephod. "The Ephod made by Gideon with the spoil of the Midianites became after his death an object of idolatry " (Ibid. p. 41). We have also Micah's images and the "Teraphim.' We learn from St. Jerome (who received it by tradition from the ancient Jews, and indeed it is so stated in Numbers xxv. 1, 2, &c., - xxiii. 28, and numerous other passages of the Old Testament) that the Jews adored Baal Phegor (Baal-Pheor), the Priapus of the Greeks and Romans. "It was, he says, “principally worshipped by women; colentibus maxime feminis (Baal-Phegor). Maimonides observes that the adoration offered to this Idol, called Pehor, consisted in discovering Chemosh, probably the same as Baal-Pheor, also received the homage of the Jews, as also did Milcom, Molech, Baal-berith (or Cybele), and numerous others-all of the same sexual cast.

From all this in regard to their irregular worship or rather (mysteriously) to their regular or assigned worship, it will be seen that the Jews fell into Idolatry-(and Phallic Idolatry, too) to an extent interpenetrating-again most mysteriously-the whole scope of their religion. There will consequently not appear anything so very startling in the supposition that the Ark of the Covenant contained symbolic objects referring to Phallic ideas. We have seen that the "Stone," or Pillar," of Jacob was held in particular venerationthat it was worshipped and anointed. We know from the Jewish records that the Ark was supposed to contain the tables of stone. And if it can be demonstrated that these stones implied a Phallic reference, and that these "tables" were identical with the symbolism accompanying the sacred name Jehovah, Iehovah, or Yehovah, which, written in unpointed Hebrew, with four letters is-IEVE or IHVH (the HE being merely an aspirate and the same as E)—this process leaves us the two letters I and V (or, in another of its forms, U). Then if we add the I in the U we have the "Holy of Holies," we also have the Linga and Yoni and Argha (Ark or Arc) of the Hindus, the "Iswarra or Supreme Lord. In all this may be found-mystically-the "ArcCelestial" replicating-in upon itself-symbolically and anagrammatically -and presenting itself as identical with the "Lingayoni" of the "Ark of the Covenant." Gregory observes that the "middle of the Ark was the place of prayer-made holy (consecrated) by the presence of Adam's Body." (Refer to the glyptic symbolism, the mystical engraving of the "Ark," facing p. 351.) Thence "Man" was the Cabalistic (Rosicrucian) Microcosmos or "Little World," in contradistinction to the causer, or pattern, or original-Macrocosmos, or "Great," or "Producing" ("Outside"), or "Originating World."

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DREN OF THE ELEMENTS," BOTH OF HEATHEN

AND OF CHRISTIAN PERIODS.

L est avéré pour les Théologiens et les Philosophes, que de la copulation de l'homme, mâle ou femelle, avec le Démon, naissent quelquefois des hommes. Et c'est de la sorte que doit naître l'Antichrist, suivant bon nombre de Docteurs: Bellarmin, Suarez, Maluenda, &c. Ils observent en outre que, par une cause toute naturelle, les enfans ainsi procréés par les Incubes (Exterior Spirits, with more or less power, enabled to embody themselves with male human characteristics, and drawn to earth with the desire to form alliances with women-as hinted in the Bible), sont grands, très-robustes, très-audacieux, trèssuperbes, et très-méchants. Voyez là-dessus Maluenda; quant à la cause en question, il nous le donne d'après Vallesius, Archiatre de Reggio.

"Ce que les Incubes introduisent in uteros n'est pas qualecumque, neque quantumcumque-mais abondant, très-chargé d'esprits et sans aucune sérosité. Ceci est d'ailleurs pour eux chose facile: ils n'ont qu'à choisir des hommes chauds, robustes, et quibus succumbant; puis des femmes de même tempérament, quibus incumbant. Tels sont les termes de Vallesius. Maluenda confirme ce qui a été dit plus haut,

"SEMI-HUMAN WORLDS" UNKNOWN.

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prouvant, par le témoignage de divers Auteurs, classiques la plupart, que c'est à pareilles unions que doivent leur naissance: Romulus et Rémus, d'après Tite-Live et Plutarque; Servius-Tullius, sixième roi des Romains, d'après Denys d'Halicarnasse et Pline l'Ancien; Plato le Philosophe, d'après Diogène Laërce et Saint Jérôme; Alexandre le Grand, d'après Plutarque et Quinte-Curce; Séleucus, roi de Syrie, d'après Justin et Appien; Scipion l'Africain, premier du nom, d'après Tite-Live; l'empereur César-Auguste, d'après Suétone; Aristomène de Messénie, illustre général grec, d'après Strabon et Pausanias. Ajoutons encore l'Anglais Merlin or Melchin, né d'un Incube et d'une Religieuse, fille de Charlemagne. Et, enfin, comme l'écrit Cocleus, cité par Maluenda, ce Hérésiarque qui a nom Martin Luther."

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On lit aussi dans la Sainte Écriture, Genèse, chap. 6, verset 4, que des géants sont nés du commerce des Fils de Dieu (the "Angels of God") avec les Filles des Hommes (the Daughters of Men"). Ceci est la lettre même du texte sacré. Or, ces géants étaient des hommes de grande stature, comme qu'il est dit dans Baruch, chap. 3, verset 26, et de beaucoup supérieurs aux autres hommes. Outre cette taille monstrueuse, ils se signalaient encore par leur force, leurs rapines, leur tyrannie; aussi est-ce aux crimes des Géants qu'il convient d'attribuer la cause première et principale du Déluge, suivant Cornélius à Lapide, dans son Commentaire sur la Genèse.

Ces animaux Incubi-spirits capable of incorporating themselves and of borrowing forms to effect their purpose without "alarming "-asserted to be an "essential Rosicrucian tenet"-ces animaux naitraient-ils dans le péché originel, et auraient-ils rachetés par le Seigneur Christ? La grâce leur serait-elle conferée, et par quels sacrements, sous quelle loi vivraient-ils, et seraient-ils capables de Béatitude et de Damnation?

"Dans un monastère de saintes Religieuses vivait comme pensionnaire une jeune vierge de noble famille, laquelle était tentée par un Incube qui lui apparaissait jour et nuit, et, avec les plus instantes prières, avec les allures de l'amant le plus passionné, la sollicitait sans cesse au péché. Elle cependant, soutenue par la grâce de Dieu et la fréquentation des sacrements, demeurait ferme dans sa résistance. Mais malgré toutes ses dévotions, ses jeûnes, ses vœux ; malgré les exorcismes, les bénédictions, les injonctions faites par les exorcistes à l'Incube de renoncer à ses persécutions; en dépit de la multitude de reliques et autres objets sacrés accumulés dans la chambre de la jeune fille, des

flambeaux ardents qu'on y entretenait toute la nuit, l'Incube n'en persistait pas moins à lui apparaître comme de coutume sous la forme d'un très-beau jeune homme. Enfin, parmi les doctes personnages consultés à ce propos, se trouva un Théologien d'une grande érudition: lequel, observant que la jeune fille tentée était d'un tempérament tout à fait flegmatique, conjectura que cet Incube devait être un démon aqueux (il y a en effet, comme en témoigne Guaccius, des démons ignés, aériens, flegmatiques, terrestres, souterrains, ennemis du jour:")

We may here remark that the above expresses some of the notions of the Rosicrucians in regard to those that they denominate-" Les Enfans Aériens et Les Enfantes Aériennes : "—their Ondins and Ondines, their Sylphs and Sylphides, their Gnomes and Gnomides, their Kebels, Kebelles or Kobolds (Krolls or Krolles), and their Salamanders and Salamandrines.

"Le Théologien érudit ordonna qu'on fît immédiatement dans la chambre de la jeune fille une fumigation de vapeur. On apporte en conséquence une marmite neuve en terre transparente; on y met une once de canne aromatique, de poivre cubèbe, de racines d'aristoloche des deux espèces, de cardomome grand et petit, de gingembre, de poivre long, de caryophyllée, de cinnamome, de canelle caryophyllée, de macis, de noix muscades, de storax calamite, de benjoin, de bois d'aloès, et de trisanthes, le tout dans trois livres d'eau-de-vie demipure; on place la marmite sur des cendres chaudes, afin de faire monter la vapeur fumigante, et l'on tient la chambre close. La fumigation fait arriver l'Incube, mais qui, cette fois, n'osa jamais pénétrer dans la chambre. Seulement, si la jeune fille en sortait pour se promener dans le jardin ou dans le cloître, il lui apparaissait aussitôt tout en restant invisible aux autres, et lui jetant ses bras autour du cou, lui dérobait ou plutôt lui arrachait des baisers, ce qui faisait cruellement souffrir cette honnête pucelle. Enfin, après nouvelle consultation, notre Théologien ordonna à la jeune fille de porter sur elle de petites boulettes composées de parfums exquis, tels que musc, ambre, civette, baume de Pérou et autres. Ainsi munie, elle s'en alla se promener dans le jardin où surle champ lui apparut l'Incube, furieux et menaçant; toutefois, il n'osa point l'approcher, et après s'être mordillé le doigt, comme s'l méditait une vengeance, il disparut pour ne plus revenir.-Confesseur de Nonnes, homme grave et très-digne de foi."

Je sais que beaucoup de mes lecteurs, la plupart peutêtre, diront de moi ce que les Epicuriens et bon nombre de Philosophes Stoïciens disaient de S. Paul (Actes des Apôtres, c. 17, v. 18): "Il semble qu'il annonce des divinités nouvelles," et tourneront ma doctrine en ridicule. Mais ils n'en

"EXCHANGE OF SEX," IN DRESS, AT CARNIVALS. 357

seront pas moins tenus de détruire les arguments qui précèdent, de nous dire ce que c'est que ces Démons Incubes, vulgairement appelés Follets, qui n'ont peur ni des exorcismes, ni des objets sacrés, ni de la Croix du Christ; et enfin de nous expliquer les divers effets et phénomènes relatés par nous dans l'exposition de cette doctrine.

The above passage is very curious, since it gives the key (a matter which has puzzled every speculator) as to the meaning of the masquerade and "Folly " and antic system which prevails in the Catholic application of the Christian Doctrine at the "Pre-Lent" period, and the recurring Festivals, or the Jovial, Mercurial, Venus - patronised periods. Folle-Follets (m.), Follettes (f.), Folletins (m.), Folletinnes (f). These are the names of the male and female masquerading, gambolling "Follies," or Fays or Elves or Sprightly Spirits - under their various fanciful names, and in their picturesque, sportive, masquerading disguises-the "pied - populace" of that "world-turnedupside-down," in the general male and female interchange and frolicsome "Glorying "- the Carnival, or Grotesque (in reality, religious) Celebration of all countries. Dancing is also sacred in certain senses. The "Precentor" of the Cathedrals was originally the Leader of the Choirephists, or Chorephists, or Corephests. Thence Coriphes, or Coryphées, for female dancers.

Luxure et humidité sont deux termes correspondants: ce n'est pas sans raison que les Poëtes ont fait naître Vénus de la mer, voulant indiquer, comme l'expliquent les Mythologues, que la luxure a sa source dans l'humidité. Lorsque les Incubes s'unissent aux femmes dans leur corps propre et naturel, sans métamorphose ou artifice, les femmes ne les voient pas, ou, si elles les voient, c'est comme une ombre presque incertaine et à peine sensible. Quando vero volunt se visibiles amasiis reddere, atque ipsis delectationem in congressu carnale afferre, sibi indumentum visibile assumunt, et corpus crassum reddunt. Par quel art (magic), ceci est leur secret. Notre philosophie à courte vue est impuissante à le découvrir.

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