Les émaux limousins de la collection Basilewsky à Saint-Petersbourg: Le triptyque de la Cathédrale de Chartres

Εξώφυλλο
Ch. Klincksieck, 1886 - 65 σελίδες
 

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Σελίδα 21 - Les deux châsses ci-mentionnées sont de cuivre jaune émaillé, ornées tout autour de figures debout en gravure, dont les têtes seules sont saillantes; et par le haut sont aux extrémités de chaque châsse deux petites boules de cuivre; au milieu, une petite pierre plate de cristal et de quatre œils intermédiaires de même matière, le tout enchâssé sur une bande de cuivre terminant la hauteur des châsses, dont une de ces bandes est à jour, et c'est celle de la châsse où nous n'avons...
Σελίδα 21 - ... petites boules de cuivre; au milieu d'une (sic) petite pierre plate de cristal, et de quatre œils intermédiaires de même matière, le tout enchâssé sur une bande de cuivre terminant la hauteur des châsses, dont une de ces bandes est à jour et l'autre bande est unie... Ces deux châsses, du reste, ne diffèrent en rien, étant de même grandeur dans tous les sens, savoir de la longueur de 23 pouces, de la hauteur de 18 et de la largeur de 9 et demi (1). L'autre châsse fut, à son tour,...
Σελίδα 15 - DES ÉDUENS. Telle est la conclusion qui intéresse l'histoire générale de l'art chez les peuples de l'Occident, et que la découverte des émaux du Beuvray vient de mettre en lumière.
Σελίδα 26 - Sur la septième et dernière des châsses qui formaient la décoration du maître autel, (la plus voisine du tabernacle, du côté de l'Évangile), on voyait « au devant une figure de la Vierge tenant à la main droite un lis et le petit Jésus en l'autre, et à ses côtés six vierges; par dessus, l'image du Sauveur et trois images à chacun de ses côtés ». Par derrière était « dépeint le martyre de ces saintes vierges, dont il y en a douze en haut qui tiennent à la main un lis. Et vers...
Σελίδα 35 - La surface des échantillons a été altérée par le temps et s'est transformée en une sorte de croûte blanche formée par du carbonate de plomb. Ces fragments sont évidemment un produit artificiel obtenu en fondant et calcinant ensemble les trois métaux désignés, lesquels, s'oxydant peu à peu, se transforment en un mélange tel que celui que nous examinons. Si on introduit dans une composition vitreuse un peu de poudre de cette calcine, avec quelques parcelles de limaille de fer, on donne...
Σελίδα 41 - ... les mêmes types depuis des siècles et par des moyens qu'ils n'ont jamais songé à perfectionner. Si, mettant à part toute chronologie, nous ne considérons l'émaillerie au mont Beuvray qu'au point de vue du développement général de ce genre de travail, nous pouvons dire que l'art y est surpris, comme à son origine, et dans son expression la plus simplifiée, tant au point de vue des procédés qu'à celui des effets et des résultats cherchés et obtenus.
Σελίδα 25 - Les bronzes préparés sont représentés dans la planche I ; ils sont formés par une série de globules superposés dont le dernier seul devait être émaillé. La partie inférieure s'évasait en deux branches minces et courbes, terminées chacune par un rivet permettant de les fixer à une pièce dont toute trace avait disparu. L'objet capital de la découverte est un pommeau du plus beau bronze, d'un dessin correct, et dont l'intérieur est creux. Sa base affecte la forme d'un dôme dont la...
Σελίδα 16 - L'ancien autel de l'église, faisant aujourd'hui une chapelle dans la nouvelle : le tout en bronze, doré et émaillé, devant d'autel garni de figures et pierreries ; gradins et collatéraux ; le reste en figures. » (1) Levcsquc dit ailleurs cent huit seulement : usque ad numerum octo supra ccntum (Annales, p.
Σελίδα 30 - C'est à tort qu'on a dénommé le premier de ces inventaires : Inventaire de 1495. Il faut en rectifier la date, qui est énoncée en ancien style, l'année commençant alors au 25 mars dans nos pays : il a été fait en réalité en 1496. Au surplus le cardinal de Saint-Malo n'était pas encore abbé général de Grandmont en février 1495, son prédécesseur n'étant mort qu'au mois de décembre suivant.
Σελίδα 12 - I, xxv), les Celtes fabriquaient des ornements particuliers très luxueux pour le harnachement des chevaux. Nous lisons en effet dans la vie de Polémon, sophiste de Laodicée qui tenait école à Smyrne, et jouissait, sous Trajan et Adrien, d'une grande réputation, que : « Beaucoup de gens le blâmaient de ce qu'en voyage, il avait à sa suite une grande quantité de bagages, beaucoup de chevaux, un nombre considérable d'esclaves, diverses espèces de chiens dressés pour la chasse, et de ce...

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