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room, it is expected the learner will write as many letters as he has subjects to treat of.

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25. From the same to the same.

She hopes her friend is not yet tired of her descriptions, for she has many more to tease her with, having to run through the best landscapes. Were she not, in fact, convinced of her friend's devoted fondness for painting, she would not put her patience to such a trial; but recollecting that she herself was the first that inspired her with a love of this beautiful art, she cannot help, in return, imparting her ideas and feelings, at such a time when her friend, being in the country, is deprived of the sight of the finest production this year has exhibited.

One of the most remarkable is a view of Carthage, in which the architecture is grand and imposing, the colouring very rich, and even rather overdone in point of effect. This composition shows a very poetical imagination.

An East Indiaman off Gravesend, with many small boats round her bringing provisions. [Reflections on the performance; such as the effect of the rays of the sun upon the water, the activity of the scene, the harmony in the colouring.]

A lake in Cumberland [the richness of the foliage reflected in the water. The mist, through which are seen distant mountains, &c.]. Fisherman preparing for his departure. [The family, as well as the sea; the boat and tackle should be described.]

A Group of Gypsies, at a distance, telling a young woman her fortune. [This, as well as the preceding and the following, may be amplified. A description of the Gypsy; her black eyes, for instance, her arch look, her complexion, contrasted with that of the young woman, &c.] Harvest Home. The interior of a Cathedral.-Fruit.Flowers.-Game.-Fish.-View of Greenwich Hospital from the river.-Poachers laying traps.-Poachers brought before the Magistrate. Smugglers preparing to set out.-The Rent-Day.

Among the above pictures there were some in oil (à l'huile), or in waters colours (à l'aquarelle), in chalk and lead pencil.

26. From a young lady to her friend, giving her a description of a concert, entering into some particulars as to the principal performers, vocal and instrumental, as well as with regard to the different subjects and composers.

27. Concerning illness in the family. She mentions the complaint. Describes the uneasiness caused by this distressing event. Promises

to let her friend know when there is any amendment.

28. Letter from a Gentleman to his Friend.

He informs his friend of the loss of his fortune, which he has just experienced, through the bankruptcy of a banking-house, or from the villany of a man whom he had hitherto considered as a friend, and in whose hands he had placed all he was possessed of.

In such a moment of calamity, when, after having enjoyed a competency, he sees himself and his family reduced to beggary, he is not ashamed of having recourse to his friend, who, on former occasions, always behaved as one deserving such a name.

He is ready to work, or do anything that may enable him to support his family; he will therefore feel greatly obliged by his suggesting any plan or measure likely to ensure success. With compliments to all the family.

29. Answer to the above.

He remains, &c.

ESSAYS, ETC.

As the last and concluding Exercise for Composition, we offer a few subjects which may be treated after the manner described and pointed out in the best works on Composition.*

N.B. We have, by way of assistance to the pupil, given the first subject treated at full length, and a few more with some outlines; leaving him to do the others according to his own conception of them.

SUR L'INDÉPENDANCE.

1. Ce qu'on entend par indépendance.

2. Son influence sur le caractère d'un individu.

3. Son influence sur le caractère d'une nation.

4. Sur l'abus de l'indépendance.

5. Quels sont les moyens de conserver son indépendance.

1. L'indépendance est la liberté de faire ou d'entreprendre tout ce qui peut tendre à son bien-être, sans enfreindre le droit des nations, ou le pacte de la société, ou de la religion.

1. Le caractère de l'homme qui sent son indépendance acquiert une fermeté et une décision qui lui sont particulières. Il n'est pas excité par le désir de plaire, ni retenu par la crainte de déplaire; point de pusillanimité, il agit d'après sa conscience; tant qu'il est dans son droit, ou qu'il ne nuit à personne, peu lui importe l'approbation ou le blâme des autres.

3. Lorsque l'indépendance est nationale, elle donne au peuple qui en jouit une décision de caractère qui le rend prompt et ferme. Elle lui inspire un courage qui lui fait braver tout danger plutôt que de se soumettre à l'esclavage, une persévérance qui le rend fidèle à ses

* Such as Walker's, B. H. Smart's, &c.

engagemens, et une ténacité qui le fait revenir à la charge jusqu'à ce qu'il soit arrivé à son but. Ce même courage, cette persévérance, cette ténacité, le peuple les retrouve dans le commerce, dans l'étude des sciences et des arts. Enfin, c'est l'indépendance qui donne à un peuple les qualités propres à en faire une grande nation, à la rendre heureuse dans ses foyers, et formidable à ses ennemis.

4. L'indépendance, toute noble et toute précieuse qu'elle est, peut devenir un bien pernicieux; le moindre excès peut la faire dégénérer en licence: la licence amène l'anarchie, et l'anarchie est l'infaillible précurseur de la tyrannie.

5. La véritable indépendance est donc un juste milieu entre la licence et l'esclavage. Si cette liberté, tant désirée, tant méconnue, semble fuir des pays où le peuple est trop faible pour conserver ses droits, ou trop turbulent pour respecter l'autorité des lois, nous devons en conclure qu'il faut que le peuple sache s'opposer, non avec une aveugle fureur, mais avec une fermeté inébranlable, à la tyrannie, et en même temps obéir scrupuleusement aux lois.

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L'Envie et l'Emulation.

Le Patriotisme.

Le Devoir Filial.

La Connaissance de soi

même.
L'Obéissance.
L'Enthousiasme.
La Vanité.

La Vulgarité.
La Justice.
La Prudence.
La Tempérance.
La Fortitude.
La Colère.
L'Orgueil.
La Charité.
La Flatterie.
Les Préjugés.
L'Ambition.

Les Manières.

La Religion.
Le Style.

La Prospérité et l'Adversité.
Le Goût.

La Mode.

La Poésie.
La Musique.
La Peinture.
La Sculpture.
L'Architecture.
Le Drame:
La Tragédie.
La Comedie.
L'Opéra.

Le Mélodrame.
L'Astronomie.
La Géographie.
L'Agriculture.

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QUELQUES UNS DES SUJETS CI-DESSUS PRÉPARÉS POUR AMPLIFICATION OU DÉVELOPPEMENT.

SUR L'ORDRE.

1. Définition. C'est un arrangement ou une disposition convenable, à l'égard de la place et du rang des objets dont on a affaire.

2. Sur quoi l'ordre s'étend-il? Depuis les moindres objets domestiques jusqu'aux affaires les plus importantes de l'état.

3. Citez les états, les places, les positions, les circonstances où l'ordre est indispensable.-Montrez en même temps le mal qui peut provenir du manque d'ordre. On peut aussi faire allusion à l'ordre qui règne dans l'univers, comme pouvant servir de modèle. Montrez que quelles que soient l'immensité et la rapidité des corps planétaires ou la petitesse des moindres insectes, la plus grande exactitude et la plus parfaite symétrie y règnent.

SUR L'AMITIÉ.

1. Définition. C'est un attachement entre deux êtres, lequel provient d'une sympathie de caractère, ou d'une similitude d'occupation et de sentimens; attachment qui est fortifié par des services mutuels, et éprouvé par le temps.

2. Si l'on attribue l'amitié en partie à la faiblesse de l'homme on peut dire que c'est pour cette raison que les hommes dans les anciens temps, n'étant pas protégés par les gouvernements, se sentaient plus portés à former les liens de l'amitié. Nommez ceux qui se sont rendus célèbres à cet égard.

3. N'y a-t-il pas dans le cœur de l'homme un sentiment désintéressé qui le dispose à l'amitié? Exprimez combien, dans les liens de l'amitié, il entre de douceur, de désintéressement, de générosité, de sensibilité et de dévouement. Expliquez pourquoi ces qualités sont nécessaires pour que l'amitié soit durable, et indiquez des circonstances où elles peuvent être mises à l'épreuve.

SUR L'HABITUDE.

1. Qu'est ce que l'habitude?-C'est une disposition ou inclination causée par une action souvent réitérée.

2. Comment, dans presque tous les pays, est-on convenu d'appeler l'empire qu'a l'habitude sur l'esprit et le corps.

3. Faites remarquer l'effet de l'habitude à l'égard de ce qu'il y a de plus pénible, mais, en même temps, de ce qu'il y a de plus agréable. A l'égard de ce qu'il y a de plus digne de louange, mais aussi de ce qu'il y a de plus vicieux et de plus condamnable.

4. Conclusion.- Si l'habitude a tant d'empire sur l'esprit, exprimez combien il est nécessaire de prendre de bonne heure de bonnes habitudes; et combien il est dangereux d'en contracter de mauvaises. Indiquez le mal qui peut résulter de fréquenter la mauvaise compagnie, de voir souvent des spectacles pernicieux, d'entendre fréquemment un langage impur ou même trivial.

SUR LE RÉGLEment de ses PENSÉES.

Si la sagesse, la science et le bonheur sont les objets qui contribuent le plus à l'élévation et au bien-être de l'homme, un des moyens indispensables de les obtenir ces objets, c'est sans doute le règlement de ses pensées.

Montrez que puisque les actions sont dirigées par les pensées, il est nécessaire de diriger ses pensées vers des objets qui en soient dignes. -Voilà pour la sagesse. Combien il est utile de réfléchir sur ce qu'on a lu, ce qu'on a entendu et appris d'une manière ou d'une autre. Si la réflexion est à l'esprit, ce que la digestion est au corps, l'esprit sans réflexion ne profite de rien, de même que le corps finit par dépérir lorsque la digestion est arrêtée ou va mal.-Voilà pour la science.

POUR ÊTRE HEUREUX.

Faites reconnaître que le bonheur ne dépend pas des richesses; qu' avec la certitude de pouvoir se procurer le nécessaire, l'on peut être heureux, pourvu que l'on sache diriger ses pensées vers ce qui tend au bien, et les éloigner de tout ce qui peut encourager les mauvaises passions; et que, par-dessus tout, l'occupation est indispensable.

SUR L'ÉTUDE.

1. Dans l'Essai sur le "Règlement de ses Pensées," nous avons parlé de la Réflexion, et nous avons reconnu que sans elle l'esprit ne peut profiter des connaissances qu'on lui fait acquérir. Les connaissances s'acquièrent par l'étude, et par conséquent l'Etude et la Réflexion doivent aller ensemble. Il y a encore une qualité bien nécessaire pour que l'esprit puisse profiter autant que possible; c'est la Mémoire.

2 Ayant démontré que pour compléter une bonne éducation, il faut l'Etude, la Mémoire, et la Réflexion, indiquez l'effet que chacune produit.

3. Si l'on peut dire que la Réflexion est à l'esprit ce que la digestion est au corps, à quoi peut-on comparer l'Etude?

4. Citez toutes les manières d'étudier, soit par la lecture, soit par

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