CONTENUES DANS LES LETTRES PERSANES.
ABDIAS IBESALON, Juif. Question qu'il fait à Mahomet, page 151. Académie française, 195. Le peuple casse ses arrêts, 222. Son dictionnaire, ibid. Portrait des académiciens, ibid. Actrices. Leurs moeurs 163. ADAM. Sa désobéissance, 220. Est-il le premier de tous les hommes? 269.
Afrique. Son intérieur a toujours été
inconnu, 268. Ses côtes sont beau-
coup moins peuplées qu'elles ne l'é-
taient sous les Carthaginois et les
Romains, ibid. Pourquoi, 276. Elle
a toujours été accablée sous le des-
potisme, 294.
Agriculture. Un état qui ne souffrirait que cet art se dépeuplerait infailli- blement, 261.
Ainesse. Ce droitest contraire à la pro- pagation, 277. Alchimistes. Leur extravagance plai- samment décrite, 180 et suiv. Leur charlatanerie, 200. Alcoran. Il ne suffit pas pour expli- quer la vraie morale, 141. Il s'élève sans cesse contre le dogme de la prescience absolue, 220. Il est plein de choses puériles pompeusement exprimées, 250. Le précepte qu'il contient sur les devoirs du mariage est contraire à la propagation, 270.
ALEXANDRE. Comparé à Gengis-kan,
tient pas la cinquantième partie des habitans qu'elle contenait autrefois, 267. Elle ne se repeuple point, quoi- qu'on y envoie sans cesse de nou- veaux habitans. Pourquoi, 276. Amour. Il se détruit lui-même dans un sérail, 135, 198. Amour-propre bien entendu. Ce que
c'est, 190.
Amulettes. Fort en usage chez les Juifs
et chez les Mahometans, 315.
Anatomie. Jugement sur les livres qui
en traitent, 299.
Anciens. Ridicule de la querelle sur
les anciens et les modernes, 172.
Angleterre. Un des plus puissans Etats de l'Europe, 254. Autorité de ses rois, 257. Portrait abrégé de son gouvernement, 301.
Anglais. Leurs maximes sur le gou- vernement, 257 et suiv. Antiquaires. Leurs extravagances, 311 et suiv.
APHÉRIDON et ASTARTÉ, Guèbres. Leur histoire, 211 et suiv. Arméniens. Ne mangent que du pois- son, 182. Transportés dans la pro- vince de Ghilan, ils y périrent pres- que tous, 279. Aragon (Etats d'). Expédient dont on s'avisa pour y terminer une querelle
d'étiquette, 264 et suiv.
Arrêt qui permet à tous les Français
de prononcer la lettre comme' ils
jugeront à propos, 264.
Arts, Sont-ils utiles ou pernicieux? 258
et suiv. Incompatibles avec la mol- lesse et l'oisiveté, 260 et suiv. Sont tous dans la dépendance les uns des
autres, 261.
Ascétiques. Livres moins utiles. que
ceux de morale, 298. Asie. Beaucoup moins peuplée qu'au- trefois, 267. Elle a toujours été acca- blée sous le despotisme, 294. Asie mineure. Elle n'a plus que deux
ou trois de ses anciennes villes, 267.
Astrologie judiciaire. Méprisée aujour-
d'hui en Europe, gouverne la Perse,
299,
Astronomes. Regardent avec pitié les évenemens qui se passent sur la terre, 296.
Avocats. Les juges doivent se défier- des embûches qu'ils leur tendent, 217 et suiv.
Auteurs. La plupart ne font qu'ap-
Babyloniens. Ils étaient soumis à leurs femmes en l'honneur de Sémiramis, 175.
Bachas. Leur tyrannie, leur avarice, 152. Balk. Ville sainte, où les Guèbres ho- noraient le soleil, 214.
Barbares. Pour se conserver la con- quête d'un peuple policé, ils ont été obligés de cultiver les arts, 260. Gou- vernement de ceux qui ont détruit l'empire romain, 295. Bataille. La terreur panique d'un seul soldat peut en décider, 316. Batuecas (las). Nation espagnole in- connue dans son propre pays, 229. Béatitude éternelle. Ce dogue mal en- tendu est contraire à la propagation, 277.
Beaux esprits. Leur portrait, leur ma- nége, 232.
Café. Description des endroits où l'on s'assemble pour en prendre, 172. Capucins. Description de leur habille- ment, 188. Leur zèle pour former des établissemens dans les pays étran- gers, ibid.
Carthage. C'est la seule république qui ait existé dans l'Afrique, 294. La succession de ses princes, depuis Didon, n'est point connue, ibid. Carthaginois. Avaient découvert l'Amé- rique, 280. Pourquoi ils en aban- donnèrent le commerce, ibid. Casuistes. Leurs vaines subtilités, 199. Dangers que court continuellement leur innocence, 298. Catalogne (Etats de). Expédient dont
on s'avisa pour y terminer une que- relle d'étiquette, 264 et suiv. Catholicisme. Moins favorable à la pro- pagation que le protestantisme, 275. Célibat. C'est la vertu par excellence dans la religion catholique, 274. Sa sainteté paraît contradictoire avec celle que les Chrétiens attribuent au mariage, ibid et suiv. Etait puni à Rome, 275.
Cérémonies religieuses. Elles n'ont point un degré de bonté par elles-mêmes, 182.
Bourgeois. Depuis quand la garde des villes ne leur est plus confiée, 258. Boussole. A quoi a servi son invention, 259.
Brachmanes. Admettent la métempsy- cose, 182. Conséquences qu'ils en tirent, ibid.
CÉSAR opprime la liberté de Rome, 294.
Chambre de justice, 251. Chansons satiriques. Effets qu'elles font sur les Français, 266. Chapelets, 165.
Charité. C'est une des principales vertus dans toutes les religions, 182. Charlatans de plusieurs espèces, 200. CHARLES XII. Sa mort, 286. Chartreux. Leur silence rigoureux 232.
Chat. Pourquoi immonde, suivant la tradition musulmane, 152. Chine. Cause de sa population, 277. Chrétiens. Cultivent les terres en Tur-
quie, et y sont persécutés par les bachas, 152. La plupart d'entre eux ne veulent gagner le paradis qu'an meilleur marché qu'il est possible: de là l'origine des casuistes, 198 et suiv. Commencent à se défaire de cet esprit d'intolérance, 202. Ne pa- raissent pas si persuadés de leur re- ligion que les Musulmans, 224. Leur mariage est un mystère, 274. Christianisme. Comparé avec le maho- métisme, 171. Cette religion est une fille de la religion juive, 202. N'est pas favorable à la population, 273 et suiv.
CHRISTINE, reine de Suède, abdique la couronne, 304. Chimie. Ses ravages, 259. Chimistes. Demeures qui leur sont pro-
Circassie. Royaume presque désert, 268.
Circassiennes. Précautions que pren- nent les eunuques en les achetant pour leurs maîtres, 229. Cochon. Pourquoi immonde, suivant la tradition musulmane, 151.
Colonies. Ne sont point favorables à
la population, 278 et suiv. Celles
que les Romains envoyaient en Sar-
daigne y périssaient, 279. N'ont ja-
mais réussi à Constantinople ni à
Ispahan, 271.
Comédie. Point de vue sous lequel ce spectacle est présenté à Rica, 163.
Commentateurs. Peuvent se dispenser
d'avoir du bon sens 299--
Commerce. Quand on doit l'interrom- pre de nation à nation, 246. Fleurit à proportion de la population, 275. Compilateurs. Sont, de tous les au- teurs, les plus méprisables: leur oc- cupation, 210.
Confesseurs. Les héritiers les aiment
moins qu'ils n'aiment les médecins,
198.
Décisionnaires. Leur portrait, 222. Décrétales. Ont pris en France la place des lois du pays, 253. Déluge. Celui de Noé est-il le seul qui ait dépeuplé l'univers ? 269.
Dépopulation de l'univers. Ses causes,
267, 281 I. Combat des principes
da monde physique, qui occasionne
la peste, 269. II. Religion mahomé-
tane, 270. 1. Polygamie, ibid. 2. Le
grand nombre des eunuques, 271.
3. Le grand nombre de filles es-
claves qui servent dans le sérail, ibid.
III. Religion chrétienne, 273. 1. Pro-
hibition du divorce, ibid. 2. Célibat
des prêtres et des religieux de l'un
et de l'autre sexe 274, IV. Les
mines de l'Amérique, 276. V. Les
opinions des peuples, 277. 1. La
croyance que cette vie n'est qu'un
passage, ibid. 2. Le droit d'aînesse,
ibid. VI. Manière de vivre des sau-
vages, 278. 1. Leur aversion pour
la culture de la terre, ibid. 2. Le
défaut de commerce entre les diffé-
rentes bourgades, ibid. 3. L'avor-
tement volontaire des femmes, ibid.
VII. Les colonies, ib. et s. VIII.
La dureté du gouvernement, 280.
Confesseurs des rois. Leur rôle est dif- ficile à soutenir sous un jeune prince, 262.
Conquêtes. Droit qu'elles donnent, 247.
Conscience ( liberté de), 235. Constantinople. Causes de sa dépopu- lation, 271. Les colonies n'y ont ja- mais réussi, 279. Constitution. Comment reçue en France à son arrivée, 158 Conversation à ce sujet, 254.
Conte persan, 306 et suiv..
Corps (les grands) s'attachent trop
aux minuties, 264.
Cour. On ne peut pas y être sincère
impunément, 137.
Courouc. Ordre qui se publie en Perse pour empêcher qu'aucun homme ne se trouve sur le passage des femmes
de qualité, 183.
Courtisans. Leur avidité, 283. Les
pensions qu'ils obtiennent sont oné- reuses aux peuples: ordonnance plai- sante à ce sujet, ibid.
Coutumes. Celles de différentes pro- vinces de France sont tirées en partie du droit romain, 253. Leur multi-
plicité, ibid.
Czar. Il est despotique, 190. Voyez
PIERRE Ier.
Devins. Leur secret, 200.
Dictionnaire de l'Académie, 222.
DIEU. Moyens sûrs de lui plaire, 182.
Ne peut violer ses promesses,
changer l'essence des choses, 219. Il
ades attributs qui paraissent incompa-
tibles aux yeux de la raison humaine,
ibid. Comment il prévoit les futurs
contingens, ibid. On ne doit point
chercher à en connaître la nature ,
ibid. Est essentiellement juste, 253.
Fausse idée que quelques docteurs
en donnent, 234. Il n'y a point de
succession dans lui, 269.
Dieux. Pourquoi on les a représentés
avec une figure humaine, 201.
Disgráce. Ne fait perdre en Europe
que la faveur du prince; en Asie,
elle entraîne presque toujours la perte de la vie, 255. Directeurs. Leur portrait, 185. Divorce. Favorable à la population,* 273 et suiv. Sa prohibition donne at- teinte à la fin du mariage. ibid. Don Quichotte. C'est le seul bon livre des Espagnols, 229. Droit public. Plus connu en Europe
Ecclésiastiques. Leur avidité pour les bénéfices, 198. Agrémens et désagré- mens de leurs profession, 203 et suiv. Ils ont un rôle fort difficile à soute- nir dans le monde, ibid. Leur esprit de prosélytisme est souvent dange- reux, 204.
Ecriture sainte. Beaucoup interprétée, et fort peu éclaircie, 297- Ecrivains mercenaires. Leur lâcheté, 322.
Eglise. Effet que produit son histoire dans l'esprit de ceux qui la lisent, 300.
-(Gens d'). Méprisent les de gens
robe et d'épée, et en sont méprisés,
Eglogues. Pourquoi elles plaisent,
même aux gens de qualité, 302.
Egypte. Elle n'a presque plus de peu-
268.
ples,
Egyptiens. Ils étaient soumis aux fem-
mes en l'honneur d'Isis, 175.
Empereur (1). Ses possessions font
un des plus puissans États de l'Eu-
rope, 254.
Enfans. Ils appartiennent au mari de
leur mère, 237.
Epée (les gens d') méprisent les gens
de robe, et en sont méprisés, 179.
Epigrammes. C'est le genre de poésie
le plus dangereux, 302.
Epitaphe d'un philanthrope outré, 238.
Esclavage. Raisons pour lesquelles les
princes chrétiens l'ont aboli dans un
pays et permis dans un autre, 224.
Esclaves. Ceux des Romains étaient fort
utiles à la propagation, 272.
Espagne (1). Est un des plus grands Etats de l'Europe, 254. A été ori- ginairement peuplée par l'Italie, 294. On s'y est mal trouvé d'en avoir chassé les Maures, 202. Leur expul- sion s'y fait encore sentir comme le premier jour, 279. C'est un royaume vaste et désert, 229. Elle n'a presque plus de peuples, 267. Au lieu d'en- voyer des colonies en Amérique, elle devrait avoir recours aux Indiens pour se repeupler, 280. Elle n'a conservé que l'orgueil de son ancienne puis-
qu'en Asie, 245. On en a corrompu tous les principes, ibid. Ce que c'est: comment les peuples doivent l'exer- cer entre eux, 246.
Duels. Leur abolition louée: par qui, 201. Quel en est le principe, 242. Ils sont ordonnés par le point d'honneur, et punis par les lois, ibid.
sance 301. Sa guerre contre la France sous la régence, 296. Espagnols. Ils méprisent toutes les nations et haïssent les Français, 227. La gravité, l'orgueil et la paresse sont leur caractère dominant, ibid. et suiv. En quoi ils font consister leur principal mérite, ibid. Comment ils traitent l'amour, 228. Leur ja- lousie bornes ridicules qu'y met leur dévotion, ibid. Ils souffrent que leurs femmes laissent voir leur gorge, et non pas le bout de leurs pieds, ib. Leur politesse insultante, ibid. Leur
attachement pour l'Inquisition et
pour les petites pratiques supersti-
tieuses, ibid. Ils ont du bon sens ;
mais il n'en faut pas chercher dans
leurs livres, ibid. Leurs découvertes
dans le Nouveau Monde, et leur
ignorance de leur propre pays, 229.
Sont un exemple capable de corri-
ger les princes de la fureur des
conquêtes lointaines, 280. Moyens
affreux dont ils se sont servis pour
conserver les leurs, ibid.
Esprit. Ceux qui en ont se communi-
quent peu, se font des ennemis, et
ruinent souvent leurs affaires. Com-
parés avec les hommes médiocres,
320 et suiv. On prend toujours celui
du corps dont on est membre, 195.
Esprit humain. Il se révolte avec fu-
reur contre les préceptes, 169.
Etat. Chacun estime plus le sien que
tous les autres états, 179.
Etrangers. Ils apprennent à Paris à
conserver leur bien, 201.
Evêques. Ont deux fonctions oppo-
sées, 165. Lumières de quelques- uns, 254. Leur infaillibilité, ibid. Eunuques. Leur devoir dans le sérail, 131, 134. Leur moindre imperfec- tion est de n'être point hommes, 135. On éteint en eux l'effet des passions sans en éteindre la cause, 138. Leur malheur redouble à la vue d'un homme toujours heureux, ibid. Leur état dans leur vieillesse, 139. Comment regardés par les Orien- 155. Place qu'ils tiennent entre
les deux sexes, ibid. Leur volonté même est le bien de leur maître, 156. Leur portrait, 170. Leurs ma- riages, 193, 212. Ont moins d'au- torité sur leurs femmes que les autres maris, 213. Ne peuvent ins- pirer aux femmes que l'innocence, 229. Leur grand nombre en Asie est une des causes de sa dépopu- lation, 271.
Eunuque blanc ( le premier ). Soins
dont il est chargé dangers qu'il court quand il les néglige, 154 et s. Eunuques blancs. Punis de mort lors- qu'on les trouve dans le sérail avec les femmes, 153.
Eunuque noir ( le grand). Son his- toire, 207 et suiv. Veut obliger un
Fat. Son portrait, 189. Faveur. C'est la grande divinité des Français, 239.
Femmes. Malheur de celles qui sont enfermées dans les sérails, 136. Façon de penser des hommes à leur sujet, ibid. Momens où leur em- pire a le plus de force, 140. Il est moins aisé de les humilier que de les anéantir, 156. La gêne dans laquelle elles vivent en Italie paraît un excès de liberté à un mahomé- tan, ibid. Sont d'une création in- férieure à l'homme, 158. Comparai- son de celles de France avec celles de Perse, 161, 169. Est-il plus avan- tageux de leur ôter la liberté que de la leur laisser? 174. La loi naturelle les soumet-elle arx hommes? 175. Il y en a en France dont la vertu seule est un gardien aussi sévère que les eunuques qui gardent les Orientales, 186. Elles voudraient toujours qu'on les crût jeunes, 192 et suiv. Portrait de celles qui sont vertueuses, 197. Le jeu n'est chez elles qu'un prétexte dans la jeunesse ; c'est une passion dans un âge plus avancé, ibid. Moyens qu'elles ont dans les différens âges pour ruiner leurs maris, ibid. Leur pluralité sauve de leur empire, 198. Elles sont l'instrument animé de la féli- cité des hommes, 205. On ne peut les bien connaître qu'en fréquentant celles de l'Europe, 206. Quel est le talent qui leur plaît le plus, ibid. C'est par leurs mains que passent toutes les grâces de la cour et à leur sollicitation que se font les in- justices, 262. Importance et diffi- culté du rôle d'une jolie femme,
265. Sa plus grande peine n'est pas de se divertir; c'est de le paraître, ibid.
Femmes jaunes du Visapour. Font l'ornement des sérails de l'Asie, 247. Voyez Françaises, Orien- tales, Persanes, ROXANE. Fermiers-généraux. Portrait de l'un d'entre eux, 185.
Filles de joie. Il y en a beaucoup en Europe, 198. Leur commerce ne remplit pas l'objet du mariage, 273. Finances. Elles sont réduites en sys- tème dans l'Europe, 303. Financiers, Leur portrait, leurs ri- chesses, 251.
FLAMEL (Nicolas ). Passe pour avoir
trouvé la pierre philosophale, 181. Fondateurs des empires. Ont presque tous ignoré les arts, 259. Forme judiciaire. Elle fait autant de ravage que la forme de la médecine, 253.
Fouet. Est un des châtimens que l'on
inflige aux femmes persanes, 331. France (le roi de) est un grand magicien, 157. Les peuples qui Phabitent sont partagés en trois états, qui se méprisent mutuellement 179. On n'y élève jamais ceux qui on vieilli dans les emplois subal- ternes, 187. On s'y est mal trouvé d'avoir fatigué les Huguenots, 202. Il arrive de fréquentes révolutions dans la fortune des sujets, 250 et suiv. C'est un des plus puissans Etats de l'Europe, 254. Depuis quand les rois y ont pris des gardes, 256. La présence seule de ses rois donne la grâce aux criminels, ibid. Le nombre de ses habitans n'est rien en comparaison de ceux de
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