Histoire du commerce du Levant au moyen-âge, Τόμος 1O. Harrassowitz, 1885 - 798 σελίδες |
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Σελίδα 106 - Arabes, Libi, Siculi noscuntur et Afri; — Haec gens est totum prope nobilitata per orbem. - Et mercanda ferens et amans mercata referre ». Nel sec.
Σελίδα vii - Méditerranée, relevant de la couronne, fondèrent sur la côte du Levant des établissements commerciaux, la sollicitude et la protection de nos rois s'est exercée sur ceux-ci, avec un si grand esprit de suite et tant d'efficacité, qu'après plus de quatre siècles et malgré les fautes et les erreurs de ces derniers temps, la tradition n^a pu encore en disparaître entièrement.
Σελίδα ix - Je pourrais, sans hyperbole, joindre au titre de l'ouvrage la vieille formule : revu, corrigé et considérablement augmenté, car il n'est pour ainsi dire pas une page qui ne porte la trace des corrections ou des additions de l'auteur. Certains chapitres ont été entièrement refondus; mais le plus grand nombre des renseignements nouveaux est renfermé dans les notes.
Σελίδα 119 - ... de Jean Comnène, également vidimé dans l'acte de Manuel, ce qui expliquerait le changement de mois. La troisième date nous donne l'année 1092, qui est bien tardive ; comment croire que les Vénitiens aient attendu onze ans? Je crois qu'on peut, avec Tafel, /oc. cit., adopter la date de 1082. plaçait tout d'un coup les Vénitiens hors de pair à l'égard de tous leurs concurrents. C'était une série innombrable de ports qui leur étaient ouverts sans qu'ils eussent dorénavant à payer,...
Σελίδα 44 - Istakhri, est la ville frontière des Grecs; nos marchands y vont tous : toutes les étoffes de fabrication grecque, tous les brocarts qui sont importés chez nous passent par Trébizonde.
Σελίδα 119 - ... l'Empire, devenaient tributaires de Saint-Marc. On a très bien marqué le caractère de ces faveurs dans le passage suivant : « Le point essentiel du diplôme était le privilège accordé aux marchands vénitiens de vendre et d'acheter sur tous les points de l'Empire grec sans être inquiétés parles agents des douanes, des finances ou des ports; interdiction était faite à ces derniers de visiter leurs marchandises ou d'exiger un impôt de ce chef au nom de l'Etat. Cette mesure 1. D'après...
Σελίδα vii - ... grand esprit de suite et tant d'efficacité, qu'après plus de quatre siècles et malgré les fautes et les erreurs de ces derniers temps, la tradition n^a pu encore en disparaître entièrement. « En suivant d'ailleurs l'histoire, toujours intéressante, souvent dramatique, des efforts faits par les Latins pour conserver dans le Levant, sous une domination hostile, les comptoirs qu'ils n'avaient créés qu'au prix de si grands sacrifices, on sera étonné de retrouver presque à chaque pas,...
Σελίδα 310 - C'est une preuve de plus à l'appui de ce que nous avons dit de l'énorme prépondérance acquise par Venise pendant la période que nous étudions.
Σελίδα 119 - ... eussent dorénavant à payer, soit pour le stationnement de leurs vaisseaux, soit pour le débarquement et le déchargement de leurs marchandises; c'étaient d'immenses territoires qu'ils pouvaient parcourir sans avoir à payer de droits ni à l'importation, ni à l'exportation, ni pour l'achat, ni pour la vente. Cette concession de faveurs extraordinaires fut probablement pour les Vénitiens l'occasion d'un nouveau développement de leur activité commerciale dans l'Empire grec'.
Σελίδα 45 - Erzeroum tient à ce qu'elle a toujours été un des principaux centres échelonnés sur la grande route qui mène de l'intérieur de l'Asie à Trébizonde: la prospérité de l'antique Arze...