Histoire d'Italie: depuis la chute de la République romaine jusqu'aux premières années du dix-neuvième siècle, Τόμος 1J. E. G. Dufour, 1803 - 411 σελίδες |
Αναζήτηση στο βιβλίο
Αποτελέσματα 1 - 5 από τα 100.
Σελίδα
... confia son burin , sa balance ; Il instruisit le peuple , il instruisit les rois , Et de la vérité n'écoutant que la voix Des mechans et des sots , il brava la puissance 2 . D'ITALIE , Depuis la chute de la République romaine jusqu'aux.
... confia son burin , sa balance ; Il instruisit le peuple , il instruisit les rois , Et de la vérité n'écoutant que la voix Des mechans et des sots , il brava la puissance 2 . D'ITALIE , Depuis la chute de la République romaine jusqu'aux.
Σελίδα ii
... peuple heureux fait entendre les accens de sa naïve reconnaissance . Ces effets , dans un ouvrage histo- rique , sont indépendans du style ; mais ils se font mieux sentir , si l'écrivain sait réunir à la vérité de ses écrits le rare ...
... peuple heureux fait entendre les accens de sa naïve reconnaissance . Ces effets , dans un ouvrage histo- rique , sont indépendans du style ; mais ils se font mieux sentir , si l'écrivain sait réunir à la vérité de ses écrits le rare ...
Σελίδα vii
... peuple dont il compose les annales , et sur - tout lorsqu'il s'agit de séparer le mensonge de la vérité . La trop grande abondance des matériaux tient l'observateur en suspens dans la suite . A l'époque de la renaissance des let- tres ...
... peuple dont il compose les annales , et sur - tout lorsqu'il s'agit de séparer le mensonge de la vérité . La trop grande abondance des matériaux tient l'observateur en suspens dans la suite . A l'époque de la renaissance des let- tres ...
Σελίδα xii
... peuple de vrais chrétiens formerait la plus parfaite so- ciété que l'on puisse imaginer ; je ne vois à cette supposition qu'une grande difficulté , c'est qu'une société de vrais chrétiens ne serait plus une société d'hommes . Chacun ...
... peuple de vrais chrétiens formerait la plus parfaite so- ciété que l'on puisse imaginer ; je ne vois à cette supposition qu'une grande difficulté , c'est qu'une société de vrais chrétiens ne serait plus une société d'hommes . Chacun ...
Σελίδα xvi
... peuples qui n'avaient pas en- core senti la puissancé romaine , étaient quel- quefois maltraités , ce qui devenait un ... peuple luï envoyait les coupables , il re → fusait de les recevoir , aimant mieux tenir toute la nation pour ...
... peuples qui n'avaient pas en- core senti la puissancé romaine , étaient quel- quefois maltraités , ce qui devenait un ... peuple luï envoyait les coupables , il re → fusait de les recevoir , aimant mieux tenir toute la nation pour ...
Άλλες εκδόσεις - Προβολή όλων
Συχνά εμφανιζόμενοι όροι και φράσεις
Alaric Alpes anciens Antoine armées armes assassiné Auguste avaient Barbares Bélisaire bientôt Brutus centuries César CHAPITRE christianisme Cicéron citoyens collègue Constantin Constantinople consul Crassus crimes culte Decimus Brutus déja dictateur dieux différens dignité Dioclétien donner empereurs enfans ennemis eût faisait femme fortune Gaules général Goths gouvernement Grecs guerre habitans historiens hommes impériale Italie Jésus Julien Justinien l'ancienne religion l'armée l'em l'empereur l'Italie légions Lépide liberté lois long-temps magistrats mains maître Marius Maximien Maximien Hercule ment mille Montesquieu monumens mort n'avait n'était nation Néron non-seulement Octave Ombri patrie pays père Perses Pompée porte pouvait préfets du prétoire Premier siècle prêtres prince proscrits provinces publique puissance Quatrièm Ravenne règne religion chrétienne république romaine reurs Rome s'était sénat sénat romain sénateurs seul Sicile Sixième siècle soldats souverain Strabon subsista Suétone Sylla Tacite temples terre Théodoric Tibère tion Toscans Totila triumvirs Troisième siècle trône troupes tyran Tyrréniens Vitigès
Δημοφιλή αποσπάσματα
Σελίδα 4 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Σελίδα 33 - ... toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Σελίδα 33 - Rome des divisions, et ces guerriers si fiers, si audacieux, si terribles au dehors, ne pouvaient pas être bien modérés au dedans. Demander dans un État libre des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles...
Σελίδα xiv - Mais je me trompe en disant une république chrétienne; chacun de ces deux mots exclut l'autre. Le christianisme ne prêche que servitude et dépendance. Son esprit est trop favorable à la ty- ; rannie pour qu'elle n'en profite pas toujours. Les vrais chrétiens sont faits pour être esclaves ; ils le savent et ne s'en émeuvent guère ; cette courte vie a trop peu de prix à leurs yeux.
Σελίδα 33 - Ce qu'on appelle union, dans un corps politique, est une chose très équivoque; la vraie est une union d'harmonie, qui fait que toutes les parties, quelque opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total.
Σελίδα 170 - Zodiaque, savoir (AL le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne, le Verseau et les Poissons), l'homme a ces choses depuis la tête, c'est-à-dire depuis le Bélier, jusqu'aux pieds, qui répondent aux Poissons (2).
Σελίδα 4 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent ou la précipitent : tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'est-à-dire une cause particulière, a ruiné un Etat, il y avait une cause générale qui faisait que cet Etat devait périr par une seule bataille ; en un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Σελίδα xii - ... relation particulière avec le corps politique , laisse aux lois la seule force qu'elles tirent d'elles-mêmes sans leur en ajouter aucune autre; et par là un des grands liens de la société particulière reste sans effet. Bien plus , loin d'attacher les cœurs des citoyens à l'état elle les en détache comme de toutes les choses de la terre.
Σελίδα xii - Reste donc la religion de l'homme ou le christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de l'Évangile, qui en est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les hommes, enfants du même Dieu, se reconnaissent tous pour frères, et la société qui les unit ne se dissout pas même à la mort.
Σελίδα 19 - Un prince d'une naissance incertaine, nourri par une femme prostituée, élevé par des bergers, et depuis devenu chef de brigands, jeta les fondements de la capitale du monde.