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Embellished with an Authentic full-length colored Portrait (No. 121 of this series.)

THE regal mantle of rich Genoa velvet lined with amber satin, hangs most gracefully over the figure of this interesting Princess, who shared the throne and fortunes of our ill-fated monarch, James II. Her robe is of white satin, the skirt being long and full, exactly as they are worn in the present day; and the boddice of the stomacher-form reminds us of some of Sir Peter Lely's portraits. It is cut very low in the centre of the bust, and surmounted by a falling tucker of rich point. The sleeves are those now called "à double sabot," and are finished below the elbow by a ruffle of point lace. The jewels worn are of the most costly description, and are composed of emeralds and fine pearls. The boddice, sleeves, and the front of the skirt are thickly studded with these ornaments, which are intermixed with a rich trimming of wrought gold. The agraffes, which fasten the royal mantle on the shoulders, as well as the bracelets, are of the same precious gems. The hair is simply arranged with strings of pearls interwoven therein, and falls in luxurious curls over the neck and shoulders. Her Majesty holds in her right hand an embroidered pockethandkerchief, which is ornamented with tassels at the corners.

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A Londres, chez MM. DOBBS and C', au bureau du court Magazine, n' 5 Rathbone place Oxford Street.

CONDITIONS DE L'ABONNEMENT: Pour Paris-8 mois, 6 f, 50 — six mois 18 f. -un an 26 1. Pour les départements : 7 f. — 14 f. — 28 f. —A l'étranger, le prix se paie selon le pays.

DESCRIPTION OF THE PLATES IN THE PRESENT NUMBER.

mille; the corsage is décolleté; the sleeves are short at the shoulder and á la religieuse at the elbow. Black cashmere turban with a deep rich torsade fringe.

No 1060. First or sitting figure. DANCING blue satin ornamented with montants en cheCOSTUME. Dress of rose satin ornamented with passementerie; corsage à pointe and very low in the neck; white kid gloves with a little guirlande of flowers, white satin shoes. Second or standing figure. TRAVESTISSE

MENT.

No 1064. DANCING AND EVENING COSTUMES. First or standing figure. Dress of

Second or standing figure. Dress of rose satin, corsage low in the neck, half high sleeves; kid gloves; satin shoes.

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quadrille de M. Bosisio le Roi d'Yvetot, paru scéniques, l'étrangeté des caractères, la bizarchez Richault. Toute la verve et tout l'entrain rerie du sujet. Nous sommes loin, pour notre de ce brillant compositeur se retrouvent dans part, d'applaudir à un pareil système, et nous cette remarquable création. Il n'est pas un bal verrions avec plaisir le traducteur énergique de Paris qui ne se soit déjà emparé de cette et fidèle de Macbeth poursuivre courageuseravissante œuvre de danse; les bals Viviennement cette grande œuvre poétique (une traducen font leurs délices, et tous nos salons s'em-tion en vers de Shakespeare); mais le public pressent de l'accueillir comme une bonne fortune.

des cabinets de lecture ne pense pas comme nous malheureusement. Ce qu'on demande au poète, à l'artiste, c'est du mouvement, des cris, des larmes, du fracas, c'est une agitation

LE CHATEAU DES ATRIDES fébrile comme celle des cauchemars. Quoi

Par M. JULES LACROIX. *

On se rappelle la vogue immense qu'ont obtenue autrefois les romans d'Anne Radcliffe. Certes les Mystères de Paris auront moins d'éditions que les Mystères d'Udolphe: non point que ces derniers soient une œuvre plus remarquable, tant s'en faut; mais alors cet honnê e public de cabinets de lecture était moins blasé, et frissonnait plus facilement. Aujourd'hui notre système nerveux est beaucoup moins irritable, et tous les sortilèges, tout l'attirail fantastique, toute la terreur factice d'Anne Radcliffe, ne sont guère plus effrayants que la lanterne magique ou les spectres de M. Comte. Cependant nous aimons tous encore le mysté rieux dans l'homme il y a toujours quelque chose de l'enfant. Voilà pourquoi les drames et les romans énigmatiques, sombres et terri bles, ont infiniment plus de succès que les conceptions sérieuses et calmes d'un ordre plus distingué peut-être, mais beaucoup moins saisissantes.

:

M. Jules Lacroix nous parait fort convaincu de ces vérités : ce qu'il recherche surtout dans ses livres, c'est l'intrigue et les complications

qu'on en dise, il faut donc bien que l'auteur obéisse, sous peine de ne trouver ni libraire, ni acheteurs. Alors, adieu l'analyse fine et savante, les nuances des caractères, et toutes ces demi teintes qui font le charme de Tom Jones et de Clarisse Harlove.

Hélas! M. Jules Lacroix n'a pas voulu prendre pour modèle Richardson ou Fielding, mais Lewis et Mathurin, ces deux sombres imaginations orageuses comme l'Océan du nord. Le Château des Atrides est une composition diabolique, effrayante; c'est la fatalité antique qui pèse sur tout une famille, comme dans ce drame lugubre de Wernes, le Vingtquatre février, M. J. Lacroix a merveilleusement choisi le théâtre où s'accomplissent tant

de funèbres événements: le château des Rosmandas domine cet âpre défilé qu'on nomme les gorges d'Ollioules; rien de plus sinistre que la description de ce vieux manoir; l'auberge de Wernes, sur la crête épouvantable de la Ghemmi, est moins terrible peut-être.

X.

IMPRIMERIE DE A. APPERT, PASSAGE DU CAIRE,

54.

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Curban de MTM Bandry, rue Richelieu, 87 – Coiffure ornée de fleurs et de marabouts de Moll

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Richelieu 95. Robe ornée de montants et d'une berthe en

en chenille

avec

perles

en

me

r jais

me

de M Merci

rue Nr des petits champs. 89 Robe en satin ornée de nauds de MTM Laurence Sallemand. r. de l'échique

.

Plumes et Fleurs de Chagot Chaussures de Meis à la Grace de Dieu, rue du Bac, 6.

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Court Magazine, No 5. Rathbone Place Oxford street.

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