Œuvres complètes de Montesquieu: Le temple de Gnide-Grandeur et décadence des Romains, etcGarnier frères, 1876 |
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Συχνά εμφανιζόμενοι όροι και φράσεις
alliés Ammien Marcellin Antiochus Antoine Appien armées Auguste avoit auroit avoient avoit Barbares c'étoit Caligula Carthage Carthaginois cavalerie César chap choses Cicéron Cicéron à Atticus citoyens conquête consuls continuellement coutume crimes d'abord d'Auguste d'Égypte Denys d'Halicarnasse devoit dieux disoit donner empereurs ennemis esclaves Esprit des lois établi état étoient étoit eurent eût faisoient faisoit falloit firent foiblesse force fût gens Gnide Goths gouvernement Grèce guerres civiles hommes jamais l'empire l'Italie légions Lettres de Cicéron liberté Macédoine magistrats maîtres malheurs Marius ment mille Mithridate mœurs monde Montesquieu n'avoit n'étoient n'y avoit nations paix paragraphe Parthes patriciens pays Perses peuple romain plébéiens Plutarque Polybe Pompée pouvoient pouvoit presque prince provinces puissance pût qu'un règne république rois Romains n'avoient Rome Saint-Évremond sénat sénateurs seul soldats Suétone Sylla Syrie Tacite temple Temple de Gnide temps-là terre Thémire Tibère Tite-Live tribuns troupes tyrannie Vénus victoire vouloient vouloit Voyez Dion
Δημοφιλή αποσπάσματα
Σελίδα 139 - Etat libre est que les revenus y sont mieux administrés; mais lorsqu'ils le sont plus mal, l'avantage d'un État libre est qu'il n'ya point de favoris; mais quand cela n'est pas, et qu'au lieu des amis...
Σελίδα 209 - On n'offense jamais plus les hommes que lorsqu'on choque leurs cérémonies et leurs usages. Cherchez à les opprimer, c'est quelquefois une preuve de l'estime que vous en faites; choquez leurs coutumes, c'est toujours une marque de mépris. César, de tout temps ennemi du sénat, ne put cacher le mépris qu'il conçut pour ce corps, qui était devenu presque ridicule depuis qu'il n'avait plus de puissance : par là sa clémence même fut insultante.
Σελίδα 192 - ... toujours être. Ce fut uniquement la grandeur de la République qui fit le mal, et qui changea en guerres civiles les tumultes populaires. Il...
Σελίδα 146 - La seconde guerre punique est si fameuse, que tout le monde la sait. Quand on examine bien cette foule d'obstacles qui se présentèrent devant Annibal, et que cet homme extraordinaire surmonta tous, on a le plus beau spectacle que nous ait fourni l'antiquité.
Σελίδα 341 - ... fit roi d'Asie : et à présent que je puis tout, j'ai plus besoin que jamais des leçons de Callisthène. Sa joie m'annonce que j'ai fait quelque bonne action , et ses soupirs me disent que j'ai quelque mal à réparer. Je le trouve entre mon peuple et moi. Je suis le roi d'un peuple qui m'aime. Les pères de famille espèrent la longueur de ma vie comme celle de leurs enfants; les enfants craignent de me perdre comme ils craignent de perdre leur père. Mes sujets sont heureux, et je le suis....
Σελίδα 193 - Le laboureur, l'homme de guerre, le négociant, le magistrat, le noble, ne sont joints que parce que les uns oppriment les autres sans résistance; et si l'on y voit de l'union, ce ne sont pas des citoyens qui sont unis, mais des corps morts ensevelis les uns auprès des autres.
Σελίδα 184 - Il ya de mauvais exemples qui sont pires que les crimes; et plus d'États ont péri parce qu'on a violé les mœurs que parce qu'on a violé les lois.
Σελίδα 141 - Il n'ya rien de si puissant qu'une république où l'on observe les lois, non pas par crainte, non pas par raison, mais par passion, comme furent Rome et Lacédémone ; car pour lors il se joint à la sagesse d'un bon gouvernement toute la force que pourroit avoir . une faction.
Σελίδα 139 - États gouvernés par un prince les divisions s'apaisent aisément, parce qu'il a dans ses mains une puissance coercitive qui ramène les deux partis ; mais dans une république elles sont plus durables, parce que le mal attaque ordinairement la puissance même qui pourrait le guérir. A Rome, gouvernée par les lois...
Σελίδα 192 - Ce qu'on appelle union, dans un corps politique, est une chose très-équivoque ; la vraie est une union d'harmonie, qui fait que toutes les parties, quelque opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total.