Cours de littérature dramatique, Τόμος 3

Εξώφυλλο
P. Blanchard, 1819

Αναζήτηση στο βιβλίο

Άλλες εκδόσεις - Προβολή όλων

Συχνά εμφανιζόμενοι όροι και φράσεις

Δημοφιλή αποσπάσματα

Σελίδα 286 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; Il doit régner partout, et même dans la fable De toute fiction l'adroite fausseté Ne tend qu'à faire aux yeux briller la vérité.
Σελίδα 316 - Ce qu'il ya d'affreux , c'est que le monstre a un parti en France; et pour comble de calamité et d'horreur, c'est moi qui autrefois parlai le premier de ce Shakespear; c'est moi qui le premier montrai aux Français quelques perles que j'avais trouvées dans son énorme fumier.
Σελίδα 315 - Il ne daigne pas même nommer Corneille et Racine ; ces deux grands hommes sont seulement enveloppés dans la proscription générale, sans que leurs noms soient prononcés. Il ya déjà deux tomes imprimés de ce Shakespeare qu'on prendrait pour des pièces de la Foire, faites il ya deux cents ans. Ce barbouilleur a trouvé le secret de faire engager le roi, la reine et toute la famille royale à souscrire à son ouvrage.
Σελίδα 66 - L'homme était-il donc né pour tant de dépendance? De nos voisins ailiers imitons la constance; De la nature humaine ils soutiennent les droits , Vivent libres chez eux , et meurent à leur choix ; Un afïront leur suffit pour sortir de la vie , Et plus que le néant ils craignent l'infamie.
Σελίδα 118 - LE COMTE D'ARGENTAL. Aux Délices, 24 octobre. Le théâtre de Polichinelle est bien petit, je l'avoue; mais, mon divin ange, nous y tînmes hier neuf en demi-cercle assez à l'aise; encore avait-on des lances, des boucliers, et on attachait des écus et l'armet de Mambrin à nos bâtons vert et clinquant, qui passeront, si l'on veut, pour pilastres vert et or. Une troupe de racleurs et de sonneurs de cors saxons, chassés de leur pays par Luc, composaient mon orchestre.
Σελίδα 348 - FIGARO. Voilà précisément la cause de mon malheur, excellence. Quand on a rapporté au ministre que je faisais, je puis ' dire assez joliment, des bouquets à Chloris, que j'envoyais des énigmes aux journaux, qu'il courait des madrigaux...
Σελίδα 316 - ; c'est moi qui le premier montrai aux Français quelques perles que j'avais trouvées dans son énorme fumier. Je ne m'attendais pas que je servirais un jour à fouler aux pieds les couronnes de Racine et de Corneille. pour en orner le front d'un histrion barbare. Tâchez, je vous prie, d'être aussi en colère que moi; sans quoi, je me sens capable de faire un mauvais coup.
Σελίδα 67 - Là sont ces insensés qui , d'un bras téméraire , Ont cherché dans la mort un secours volontaire. Qui n'ont pu supporter, faibles et furieux, Le fardeau de la vie imposé par les dieux. Hélas ! ils voudraient tous se rendre à la lumière ^ Recommencer cent fois leur pénible carrière. Ils regrettent la vie ; ils pleurent , et le sort , Le sort, pour les punir, les retient dans la mort. L'abîme du Cocytc , et l'Achéron terrible , Met entre eux et la vie un obstacle invincible.
Σελίδα 201 - Aux yeux de ses sujets le rend-elle coupable? Sans cesse , avec activité , Elle étudie, elle remarque Ce qui nuit , ce qui sert à votre autorité ; Vous présente la vérité , Le premier besoin d'un monarque : En la montrant dans tout son jour, Elle sait l'embellir des roses de l'amour. Eh ! quel autre aurait le courage D'en offrir seulement l'image? Est-ce un courtisan toujours faux, Qui ne trouve son avantage Qu'à vous tromper, qu'à flatter vos défaut»?
Σελίδα 349 - En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès ; car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs : des mains...

Πληροφορίες βιβλιογραφίας