ALEXIS COMNÈNE. Événements arrivés sous son règne, 27,3 et suiv. ALEXIS et JEAN COMNÈNE. Repoussent les Turcs jusqu'à l'Euphrate. 274. Allemagne. Ses forêts élaguées, ses marais desséchés, 252. Allemands croisés. Payent cher les fautes des croisés français; 275, Allié (le titre d') du peuple romain, très-recherché, quoiqu'il emportât avec soi un véritable esclavage, 63. AMALASONTE, reine des Goths. Fournit des vivres à Bélisaire, 233. Ambassadeurs romains. Parloient partout avec hauteur, 67. Ambition. Mal très-commun dans l'empire grec : pourquoi, 247. Anarchie. Règne à Rome pendant les guerres civiles, 141. ANDRONIC PALÉOLOGUE. Abandonne la marine: par quelle raison, 261. Réponse insolente d'un patriarche de Constantinople au vieux Andronie. 263. Passe sa vie à discuter les subtilités théologiques, 264 et suiv. ANDRONIC COMNÈNE. Le Néron des Grecs, 270.` Angleterre. Sagesse de son gouvernement, 97. ANNIBAL. A quoi il dut ses victoires contre les Romains, 41. Obstacles sans nombre qu'il eut à surmonter, 45. Justifié du reproche qu'on lui' fait communément de n'avoir pas assiégé Rome immédiatement après la La-taille, et d'avoir laissé amollir ses troupes à Capoue, 47. Ce furent ses conquêtes mêmes qui changèrent sa fortune, 48. Critique de l'auteur sur la façon dont Tite-Live fait parler ce grand capitaine, 49. Réduit par Scipion à une guerre défensive, il perd une bataille contre le général romain, 50. ANTIOCHUS. Sa mauvaise conduité dans la guerre qu'il fit aux Romains, 61. Traité déshonorant qu'il fit avec eux, 62. ANTOINE. S'empare du livre des raisons de César, 130. Fait l'oraison funèbre de César, 131. Veut se faire donner le gouvernement de la Gaule cisalpine au préjudice de Decimus Brutus qui en est revêtu, 133. Défait à Modène, 134. Se joint avec Lépide et Octave, 135. Réuni à Cctave, il poursuit Brutus et Cassius, ibid. Jure de rétablir la république : perd la bataille d'Actium, 139. Úne troupe de gladiateurs lui reste fidèle dans ses désastres, 140. ANTONINS (les deux). Empereurs chéris et respectés, 175. APPIEN. Historien des guerres de Marius et de Sylla, 110. APPIUS CLAUDIUS. Distribue le menu peuple de Rome dans les quatre tribus de la ville, 96. Arabes. Leurs conquêtes rapides, 251 et suiv. Etoient les meilleurs hommes de trait, 252. Bons cavaliers, ibid. Leurs divisions favorables à l'empire d'Orient, 269. Leur puissance détruite en Perse, 270. ARCADIUS. Fait alliance avec les Wisigoths, 22 Archers crétois. Autrefois les plus estimés, 26. Arianisme. Étoit la secte dominante des barbares devenus chrétiens, 229, Seçte qui domina quelque temps dans l'empire, ibid. Que le en étoit la doctrine, 246. Aristocratie. Succède dans Rome à la monarchie, 87. Se transforme à peu près en démocratie, 89. Armées navales. Autrefois plus nombreuses qu'elles ne le sont, 42. Armées romaines. N'étoient pas fort nombreuses, 24. Les mieux disciplinées qu'il y eût, ibid. Dans les guerres civiles, de Rome, n'avoient aucun objet déterminé, 141. Ne s'attachoient qu'à la fortune du chef, ibid. Sous les empereurs, exerçoient la magistrature su prême, 189. Dioclétien diminue leur puissance : par quels moyens, 192 et suiv. Les grandes armées, tant de terre que de mer, plus embarrassantes que propres à faire réussir une entreprise, 233. Armes. Les soldats romains se lassent de leurs armes, 210. Un soldat romain étoit puni de mort pour avoir aban donné ses armes, 212. ARSENE et JOSEPH. Se disputent le siége de Constantinople acharnement de leurs partisans, 265. Arts. Comment ils se sont introduits chez les différents peuples, 28. Étoient réputés, comme le commerce, chez les Romains, des occupations serviles, 109 et suiv. Aruspices. Voyez Augures. Asie. Région que n'ont jamais quittée le luxe et la mollesse, 60. Association de plusieurs villes grecques, 53;- de plusieurs princes à l'empire romain, 189. Regardée par les chrétiens comme une des causes de l'affoiblissement de l'empire, 215. Astrologie judiciaire. Fort en vogue dans l'empire grec, 247. Athamanes. Ravagés par la Macédoine et l'Étolie, 53. Athéniens. État de leurs affaires après les guerres puniques, ibid. ATTILA. Soumet tout le Nord, et rend les deux empires tributaires, 218. Si ce fut par modération qu'il laissa subsister les Romains, 219. Dans quel asservisscient il tenoit les deux empires, 220. Son portrait, ibid. Sor union avec Genseric, 225. Avares (les) attaquent l'empire d'Orient, 244. Augures. Étoient les grotesques du paganisme, 185. Leur dignité étoit une magistrature, 299. Opiniqu de Fa bius, de Marcellus, de Cicéron, sur les augures, 287. Conduite de Paul-Émile, de César, de Scipion, de Crassus, de Lucullus, de Brutus, de Claudius Pulcher, envers les augures, 291. AUGUSTE. Surnom d'Octave, 142. Commence à établir une forme de gouvernement nouvel, ibid. Ses motifs secrets, et le plan de son gouvernement, 143 et suiv. Parallèle de sa conduite avec celle de César, ibid. S'il a jamais eu véritablement le dessein de se démettre de l'empire, ibid. Parallèle d'Auguste et de Sylla, 145. Est très-réservé à accorder le droit de bourgeoisie, 147. Met un gouvernement et une garnison dans Rome, 149. Assigne des fonds pour le payement des troupes de terre et de mer, ibid. Fait des établissements fixes pour la marine, 152. Avoit ôté au peuple la puissance de faire des lois, 157. AUGUSTIN (Saint). Réfute la lettre de Symmaque, 217. Autorité. Il n'en est pas de plus absolue que celle d'un prince qui succède à une république, 165 et suiv. B. BAJAZET. Manque la conquête de l'empire d'Orient : par quelle raison, 280, Baléares (les). Étoient estimés d'excellents frondeurs, 26. Barbares. Devenus redoutables aux Romains, 189, 223. Incursions de barbares sur les terres de l'empire romain sous Gallus, 190; et sur celui d'Allemagne, qui lui a succédé, ibid. Rome les repousse, 191. Leurs irruptions sous Constantius, 200. Les empereurs les éloignent quelquefois avec de l'argent, 205. Épuisoient ainsi les richesses des Romains, 206. Employés dans les armées romaines à titre d'auxiliaires, 208. Ne veulent pas se soumettre à la discipline romaine pu devenir Ro 213. Cbtiennent en Occident des terres aux extrémi- BARLAAM et ACINDYNE. Leur querelle contre les moines grecs, 258. BASILE (l'empereur). Laisse perdre la Sicile par sa faute, 260. BASILE PORPHYROGÉNÈTE. Extinction de la puissance des Arabes en Perse sous son règne, 272. Bataille perdue. Plus funeste par le découragement qu'elle occasione que par la perte réelle qu'elle cause, 46. Batailles navales. Dépendent plus à présent des gens de mer que des soldats, 43. BAUDOUIN, Comte de Flandre. Couronné empereur par les Latins, 275. BÉLISAIRE. A quoi il attribue ses succès, 229. Débarque en Afrique pour attaquer les Vandales, n'ayant que cinq mille soldats, 232. Ses exploits et ses victoires Portrait de ce général, ibiḍ. Béotiens. Portrait de ce peuple, 52. Bigotisme. Éperve le courage des Grecs, 254. Effets contraires du bigotisme et du fanatisme, ivia. Bithynie. Origine de ce royaume, 58. •Blé (distribution de) dans les siècles de la république et sous les empereurs, 197. Bleus et verts. Factions qui divisoient l'empire d'Orient, 236. Justinien favorise les bleus, 237. |