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par les croisés, 221. Reprise par les Grecs, 222. Son commerce ruiné, ibid.

CONSTANTIUS. Envoie Julien dans les Gaules, 163. Consuls annuels. Leur établissement à Rome, 17. CORIOLAN. Sur quel ton le sénat traite avec lui, 44. Courage guerrier. Sa définition, 28.

Croisades, 219 et suiv.

Croisés. Font la guerre aux Grecs, et couronnent empereur le comte de Flandre, 221. Possèdent Constantinople pendant soixante ans, 222.

Cynocéphales (journée des). Philippe y est vaincu par les Étoliens unis aux Romains, 52.

DANOISES

D.

ANOISES (troupes de terre). Presque toujours battues par celles de Suède depuis près de deux siècles, 170. Danse. Chez les Romains n'étoit point un exercice étranger à l'art militaire, 25,

Décadence de la grandeur romaine. Ses causes, 84 et suiv. 1. Les guerres dans les pays lointains, ibid. 2. La concession du droit de bourgeoisie romaine à tous les alliés, 86. 3. L'insuffisance de ses loix dans son état de grandeur, 89. 4. Dépravation des moeurs, 90 et suiv. 5. L'abolition des triomphes, 121. 6. Invasion des barbares dans l'empire, 154 et 179. 7. Troupes de barbares auxiliaires incorporées en trop grand nombre dans les armées romaines, 169. Comparaison des causes générales de la grandeur de Rome avec celles de sa décadence, 172.

Décadence de Rome. Imputée par les chrétiens aux païens, et par ceux-ci aux chrétiens, 174 et suiv.

Décemvirs. Préjudiciables à l'agrandissement de Rome, 21. Voyez Duumvirs..

Deniers. Distribués par les triomphateurs, 138. Dénombrement des habitans de Rome. Comparé avec celui qui fut fait par Démétrius de ceux d'Athènes, 32. On en infère quelles étoient, lors de ces dénombremens, les forces de l'une et l'autre ville, ibid. Désertions. Pourquoi elles sont communes dans nos armées pourquoi elles étoient rares dans celles des Romains, 27.

Despotique. S'il y a une puissance qui le soit à tous égards, 214.

Despotisme, Opère plutôt l'oppression des sujets que leur union, 88.

Devins. Suivoient les armées: pourquoi, 234. Subor donnés aux magistrats, ibid.

Dictature. Son établissement, 79.

Dieux. Divisés en trois classes, 237. Combien les Romains comptoient de dieux, 245. Pourquoi ils ne faisoient pas attention au désordre et à la confusion de leur mythologie, 246.

DIOCLETIEN. Introduit l'usage d'associer plusieurs princes à l'empire, 156.

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Discipline militaire. Les Romains réparoient leurs pertes en la rétablissant dans toute sa vigueur, 26. Adrien la rétablit Sévère la laisse se relâcher, 151. Plusieurs empereurs massacrés pour avoir tenté de la rétablir, ibid. et suiv. Tout-à-fait anéantie chez les Romains, 169. Les barbares incorporés dans les armées romaines ne veulent pas s'y soumettre, 172. Comparaison de son ancienne rigidité avec son relâchement, 173. Disputes. Naturelles aux Grecs, 212. Opiniâtres en matière de religion, ibid. Quels égards elles méritent de la part des souverains, 213.

Divination par l'eau d'un bassin: en usage dans l'empire grec, 199.

Voyez Augures et Devins.

Divisions. S'appaisent plus aisément dans un état monarchique que dans un état républicain, 36. Divisions dans Rome, 76 et suiv.

DOMITIEN, empereur. Monstre de cruauté, 139.

DRUSILLE. L'empereur Caligula, son frère, lui fait décerner les honneurs divins, 134.

DULLIUS (le consul). Gagne une bataille navale sur les Carthaginois, 43.

DURONIUS (le tribun M.). Chassé du sénat; pourquoi, 81. Duumvirs. Leurs fonctions religieuses, 242.

E.

ÉCOLE militaire des Romains, 24. Égypte. Idée du

gouvernement de ce royaume après la mort d'Alexandre, 55. Mauvaise conduite de ces rois, ibid. Conquise par Auguste, 161.

Egyptiens. En quoi consistoient leurs principales forces, 58.

Les Romains les privent des troupes auxiliaires qu'ils tiroient de la Grèce, 59.

Empereurs romains. Étoient chefs nés des armées, 121. Leur puissance grossit par degrés, 123 et suiv. Les plus cruels n'étoient point haïs du bas peuple: pourquoi, 133. Étoient proclamés par les armées romaines, 136. Inconvénient de cette forme d'élection, ibid. et suiv. Tâchent en vain de faire respecter l'autorité du sénat, 137 et suiv. Successeurs de Néron jusqu'à Vespasien, 139. Leur puissance pouvoit paroître plus tyrannique que celle des princes de nos jours:

pourquoi

pourquoi, 144. Souvent étrangers: pourquoi, 146. Meurtres de plusieurs empereurs de suite, depuis Alexandre jusqu'à Dèce inclusivement, 152. Qui rétablissent l'empire chancelant, 156. Leur vie commençe à être plus en sûreté, 157. Mènent une vie plus molle et moins appliquée aux affaires, 158. Veulent se faire adorer, ibid. Peints de différentes couleurs, suivant les passions de leurs historiens, 163. Plusieurs empereurs grecs haïs de leurs sujets pour cause de religion, 198. Dispositions des peuples à leur égard, 199 et suiv. Ré. veillent les disputes théologiques au lieu de les assoupir, 212 et suiv. Laissent tout-à-fait périr la marine, 222. Empire romain. Son établissement, 98. Comparé au gouvernement d'Alger, 153. Inondé par divers peuples barbares, 154. Les repousse, et s'en débarrasse, 156. Association de plusieurs princes à l'empire, 154 et 156. Partage de l'empire, ibid. et 159. Ne fut jamais plus foible que dans le temps que ses frontières étoient le mieux fortifiées, 194.

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Empires. Voyez Orient, Occident, Grecs, Turcs. Entreprises (les grandes). Plus difficiles à mener parmi nous que chez les anciens: pourquoi, 200. Épée, Les Romains quittent la leur pour en prendre à l'espagnole, 29. Epicurisme. Introduit à Rome sur la fin de la république, y produit la corruption des moeurs, 90.

Eques. Peuple belliqueux, 20.

Espagnols modernes. Comment ils auroient dû se conduire dans la conquête du Mexique, 72.

Etoliens. Portrait de ce peuple, 49. S'unissent avec les

Romains contre Philippe, 52.

chus contre les Romains, 53.

S'unissent avec Antio

EUTYCHES. Hérésiarque: quelle étoit sa doctrine, 198.

Exemples. Il y en a de mauvais, d'une plus dangereuse conséquenc que les crimes, 80.

Exercices du corps. Avilis parmi nous, quoique trèsutiles, 25.

FAUT

F.

AUTES (les) que commettent ceux qui gouvernent sont quelquefois des effets nécessaires de la situation des affaires, 168.

Fécialiens. Leurs fonctions dans l'ordre religieux et dans l'ordre politique, 243.

Femmes (par quel motif la pluralité des) est en usage en Orient, 190.

Festins. Loi qui en bornoit les dépenses à Rome, abrogée par le tribun Duronius, 81.

Feu grégeois. Défense par les empereurs grecs d'en donner la connoissance aux barbares, 216.

Fiefs. Si les lois des fiefs sont par elles-mêmes préjudiciables à la durée d'un empire, 72.

Flottes. Portoient autrefois un bien plus grand nombre de soldats qu'à présent, 43. Une flotte en état de tenir la mer ne se fait pas en peu de temps, ibid.

Fortune. Ce n'est pas elle qui décide du sort des empires, 170.

Français croisés. Leur mauvaise conduite en Orient, 220. Frise et Hollande. N'étoient autrefois ni habitées ni habitables, 203.

Frondeurs baléares. Autrefois les plus estimés, 29.
Frontières de l'empire fortifiées par Justinien, 194.

G.

GABINIUS. Vient demander le triomphe après une guerre qu'il a entreprise malgré le peuple, 119.

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